Classicisme
Cours : Classicisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar flouflou67 • 15 Décembre 2022 • Cours • 416 Mots (2 Pages) • 243 Vues
Les Fourberies de Scapin. (Exemple de plan)
Les Fourberies de Scapin est une comédie écrite en 1671 par Molière, un comédien et dramaturge appartenant au classicisme, il a aussi écrit Le Malade Imaginaire, L’Avare, Le Médecin malgré lui. Cette scène est le nœud de l’action car c’est encore une farce de Scapin.
Dans cette scène que nous étudions le paratexte nous montre que, Scapin fait croire à son maître, Géronte, que des personnes viennent pour le tuer et l’a convaincu de se cacher dans un sac, il va donc jouer une double personnalité. Cette scène est en 3 mouvements en commençant avec la mise en place de la farce de Scapin suivi de la panique de Géronte qui lui dit qu’il doit l’aider pour montrer sa loyauté en finissant avec l’idée de Scapin de le cacher dans un sac, alors que personne n’est là pour le tuer cet extrait fait donc partit du registre comique.
Pb : En quoi cette scène comique propose-t-elle une réflexion sur la relation maître/valet ?
I/ Une scène de farce.
1)Vivacité du dialogue
-enchaînement des répliques ->procédé/citation
-questions/réponses -> procédé/citation
-ponctuation expressive -> ‘’/ ‘’
2) Comique de mots
3)Comique de gestes
II/ La relation maître-valet.
1) « Faux » danger (comique de situation mise en place de la fourberies)
- « Votre fils, monsieur […] que vous fussiez votre logis. »
- «
2) Inversion des rôles
3) Scapin metteur en scène
Nous pouvons discerner le mensonge de Scapin très facilement mais Géronte lui est persuadé que des personnes vont venir, Scapin a réussi avec ses mots, son attitude et son caractère d’y faire croire, il a donc utilisé toutes les formes de comiques. Le comique de geste est omniprésent par les attitudes, les grimaces, les mouvements excessifs de Scapin et Géronte ; le comique de caractère est aussi présent, Scapin est un bon menteur et manipulateur il s’est même déplacé comme pour voir s’il y avait des personnes dehors et après feint l’innocence qu’il n’y a rien ; le comique de mot, il sait comment parler et il est doué avec la parole ; comique de situation, il fait en sorte de se venger en étant discret et intelligent.
CITATION | PROCEDE | INTERPRETATION |
« Le péril le plus grand du monde (l.2-3) » | Hyperbole(+superlatif) | Danger exagérer (mise en place de fourberie) |
« Moi ? – Et qui ? » (l.6-8) | Phrase « ? » | Inquiétude de Géronte |
« Non, non, non… » (l.22) | Répétition + négation | Manipulation de Géronte (Scapin le rassure) |
« Le meilleur du monde » (l.38) | Hyperbole + antiphrase(ironie) | Scapin se félicite de sa fourberie |
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