Candide de Voltaire
Synthèse : Candide de Voltaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar psye • 23 Février 2022 • Synthèse • 1 762 Mots (8 Pages) • 407 Vues
Candide de Voltaire, est un livre aussi appelé l’optimiste, est un livre racontant les différents voyages d’un jeune homme appeler Candide à qui il arrive de nombreuses aventures et mésaventure. Lors de ses différents voyages, Candide, n’a rapporté aucun souvenir, mis à part un mouton et de l’argent provenant de l’Eldorado. Si nous avions été à la place de Candide qu’aurions-nous rapporté et pourquoi ?
Au chapitre XVIII, Candide se trouve à l’Eldorado, un pays magnifique et parfait qui n’a aucun problème et qui est riche. Lors de ce chapitre, Candide rend visite au roi et en apprend plus sur la manière de vivre en Eldorado. Il apprend quelles sont leurs croyances, leurs mœurs, leurs habitudes. Si j’avais été à la place de Candide, avant de partir de l’Eldorado, je pense que j’aurais ramené un des livres de la bibliothèque du roi d’Eldorado. En effet, depuis qu’il est tout petit, Candide a toujours vécu avec la phrase enseigner par un philosophe et ami, Pangloss, « que tous les humains vivent dans le meilleur des mondes ». Je pense que Candide aurais premièrement du prendre ce livre en souvenir afin de se remémorer que chaque personne à une vision différente de la vie, qu’on à tous une religion différente, un savoir différent. Afin de pouvoir me rappeler que tout le monde est différent est que cela fait la beauté de la nature humaine. En effet, depuis qu’il est tout petit Pangloss lui as appris sa vision du monde, que tout est toujours beau dans le plus beau des mondes. Mais suites à toutes les péripéties rencontrées par Candide depuis son départ du château de Thunder-ten-tronckh. Ces péripéties ont pu lui faire reconsidérer sa vision du monde. Mais, avant l’Eldorado, les différences entre les croyances, les mœurs et la vision de Dieu chez toutes les personnes que Candide à rencontrer étais seulement légèrement différentes. Alors que en Eldorado, les différentes sont plus marquées. En effet, nous pouvons voir au chapitre XVII une discussion : « Cacambo demanda humblement quelle était la religion d’Eldorado. Le vieillard rougit encore. « Est-ce qu’il peut y avoir deux religions ? dit-il ; nous avons, je crois, la religion de tout le monde : nous adorons Dieu du soir jusqu’au matin. – N’adorez-vous qu’un seul Dieu ? dit Cacambo, qui servait toujours d’interprète aux doutes de Candide. – Apparemment, dit le vieillard, qu’il n’y en a ni deux, ni trois, ni quatre. Je vous avoue que les gens de votre monde font des questions bien singulières. » ». Nous pouvons, suite a cette discussion nous rendre compte que l’Eldorado n’a pas les mêmes croyances que les autres pays et que cela choque Candide qu’ils ne voient pas la même chose que lui. Cela montre la diversité dans le monde. Si Candide avais ramener un des livres du roi de l’Eldorado, cela lui aurais toujours rappeler la diversité des hommes et de leurs croyances.
Deuxièmement, je pense que garder ce livre aurais aussi permis à Candide de se rappeler de cet extraordinaire voyage et de ce pays dont seulement peux de personnes ont réussi à réaliser. En effet, cela pourrais permettre à Candide de prouver son histoire, et de faire de lui un « héro », une légende. De plus cela aurais aussi permit à Candide de se rappeler lui-même de son magnifique voyage réaliser par peux de personne, se rappeler qu’il a été capable de réaliser une chose que lui même ne pensais pas possible au début. Nous savons que quasiment personne n’a réussi a atteindre l’Eldorado, qui est aussi vu comme le paradis sur terre. Et encore moins de personne ont réussi à repartir, car ils appréciaient énormément la vie là-bas. Si Candide avais pris ce livre en souvenir, cela lui aurais permis de se rappeler, que lui, Candide, à réussi à atteindre l’Eldorado, un pays utopique, mais il à aussi réussi à en repartir malgré la vie agréable, paisible et parfaite qu’il avait en Eldorado.
Au chapitre VII, Candide se trouve à Lisbonne, c’est là-bas qu’il vas retrouver Gunégonde. Gunégonde étais son amour de jeunesse, son coup de cœur. C’est en l’embrassant qu’il a du partir de tout ce qu’il connaissais, que ce soit Gunégonde elle même, sa vie aisée, ou encore Pangloss, qui lui apprenais la beauté de la vie. Si j’avais été Candide, je pense que j’aurais pris avec moi le voile qui cachais le visage de Gunégonde, juste avant qu’il ne la revoit alors que jusque là il pensais ne plus jamais la revoir car il la croyais morte. Si j’avais été à la place de Candide, avant de m’enfuir de cette petite maison, j’aurais apporté avec moi ce voile. Il marque ses retrouvailles avec son ancienne vie, quand il vivais au château de son oncle, le baron Thunder-ten-tronckh avec Gunégonde. Son amour de jeunesse, qu’il pensais ne plus jamais revoir. Il la pensais morte et elle réapparais sous ses yeux, la femme qu’il aime. Ce voile symboliserais pour lui, le moment avant de la revoir pour la première fois. Le moment où il pensais avoir tout perdu, sa famille, ses amis, suite à son renvoi du château et l’attaque du château dont on lui dit qu’il ne restais aucun survivant. Jusqu’à ce que cette inconnue retire son voile et dévoile Gunégonde. Au chapitre IV, Pangloss annonce à Candide que Gunegonde est morte « Eh bien ! Lui dit-il, Gunégonde ? - Elle est morte » ». Puis au chapitre VII, il la revoit pour la première fois « Le jeune homme approche ; il lève le voile d'une main timide. Quel moment ! quelle surprise ! il croit voir Mlle Cunégonde; il la voyait en effet, c'était elle-même. La force lui manque, il ne peut proférer une parole, il tombe à ses pieds. ». On voit ici que Candide est tellement heureux de retrouver Gunégonde qu’il en perd la parole et le sens de l’équilibre, et est obliger de s’asseoir. C’est à là qu’il renoue avec son ancienne vie, avec Gunégonde à la suite de la mort de Pangloss. Cela lui permet de renouer avec son ancienne vie. Si Pangloss avais amener ce voile avec lui, cela lui aurais rappeler le bonheur que lui as procuré de revoir pour la première fois Gunégonde, l’amour de sa vie.
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