Candide de Voltaire.

LEAL CARVALHO Valentine         Licence Hisoire-Géographie 1

Devoir maison

de Littérature sur Candide de Voltaire

Note A        28 février 2016

Jean Starobinski est un historien suisse des idées et un théoricien de la littérature.
Il a étudié les lettres classiques et la médecine à l'université de Genève (Suisse), où il a obtenu un doctorat ès lettres (thèse sur Jean-Jacques Rousseau) et un doctorat en médecine. Voltaire, de son vrai nom François Marie Arouet est un partisan du despotisme éclairé adepte de pensée philosophiques et de nombreuse fois courtisant à la cours française, anglaise, allemande et suisse où il est bien souvent chasser pour manque de  C'est en 1759 que Voltaire publie Candide, un conte philosophique, c'est à dire un récit qui  permet d’émettre une satire sur la religion, de la société ou encore du pouvoir de façon  philosophique et subjectif dans un récit court et facile de lecture. Cette œuvre traite de trois sujets majeurs : l'optimisme, le voyage et la dénonciation de la violence. Jean Starobinski parle d'un caractère à double visées dans son œuvre du philosophe et d'une bivalence  des événements narrés. Dans un premier temps nous monterons en effet la dénonciation  de l'optimisme de Leibniz par l'incarnation de sa philosophie dans le personnage de Pangloss, puis nous montrerons cependant l'impacte des événement d 19eme siècle qui affecte l'écriture de l'auteur notamment le tremblement de terre qui frappe Lisbonne en 1755. Pour terminé nous montrerons une opposition au clergé et à la religion catholique à travers l'esclavage qui est soutenus par l’Église.

Comme l'expression bivalence des événements narrées de jean Starobinski le démontre, Pangloss et Leibniz entretiennent une philosophe en tout point semblable. Leibniz prétend que « Dieu a choisi celui des mondes possibles qui est le plus parfait» (Discours de métaphysique) il  considère que le mal est nécessaire pour que le bien se produise. En réponse, Voltaire fait vivre dans le meilleur « des mondes possibles» un jeune homme qui a été instruit selon la philosophie de Leibniz et très naïf. Tant qu'il garde ses œillères optimistes, les malheurs s'accumulent sur lui. Il échappe de peu à la mort,  il doit fuir de nombreux endroits et surtout il est privé de Cunégonde, la fille dont il est amoureux. La leçon que voltaire veut transmettre que l'optimisme est en retard sur la société et en deviens dangereux pour es adeptes car il accroît l'individu de la prudence qu'il faut avoir pour survivre dans un monde loin d'être le meilleur. A travers le personnage de Candide, Voltaire donne sa définition de l'optimisme: « c'est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal» (chapitre dix-neuvième). Quant à Pangloss, il est constamment tourné en ridicule: la parodie permet ainsi à Voltaire de faire une joyeuse satire de Leibniz : « une joyeuse démonstration de l'inanité du système de Pangloss » explique Jean Starobinski. Voltaire ne préconise pas pour autant une philosophie exactement opposée à l'optimisme: il fait apparaître l'excès du pessimisme. Le pessimisme est incarné par Martin. Ce personnage se déclare manichéen. Le manichéisme croit en l'existence des deux principes du bien et du mal, de force égale et qui s'affrontent sans cesse dans le monde.Matin déclare que « En jetant la vue sur ce globe, ou plutôt sur ce globule, je pense que Dieu l'a abandonné à quelque être malfaisant » (chapitre vingtième). Martin est l'opposition parfaite de  Pangloss, Voltaire ne le montre  jamais ridicule a contrario de Pangloss qui montre alors l’opinion plutôt pessimiste du philosophe. Mais c'est à la fin de l’œuvre que l’opinion de l'auteur se manifeste en faveur d'une  sagesse pragmatique et active : Candide a eu beaucoup d'espoir au début du conte il a été déçu et il a souffert physiquement et moralement mais il a vécu. Il a aussi appris notamment grâce à Cacambo et d'un vieillard turc qu'on échappe aux malheurs en agissant: « le travail éloigne de nous trois grands maux, l'ennui, le vice, et le besoin» (chapitre trentième). À la fin du conte, il parvient à se ménager une existence tolérable.

 Voltaire est également fortement impacté par les événement qui se multiplie en Europe à l'époque notamment en 1755 le tremblement de terre qui ravage Lisbonne au Portugal et ainsi que l'éclatement du conflit entre la Prusse et l'Angleterre en 1756 qui sera plu tard nommée la guerre de sept ans. Le nombre de 5000 à 10000 victimes rend Voltaire profondément  impliqué dans un débat théologico-métaphysique et très devient curieux des explications du phénomène naturel, c'est dans une lettre au juriste genevois Jean-Robert Tronchin du 24 novembre 1755 que Voltaire prononce sont impression pour la première fois sur l’événement : « Cent mille fourmis, notre prochain, écrasées tout d’un coup dans notre fourmilière […] la fortune de cent commerçants de votre patrie abîmée dans les ruines de Lisbonne. Quel triste jeu de hasard que le jeu de la vie humaine ! » Dans Candide, le philosophe montre des réactions irrationnel de population qui sacrifie d'autres êtres humains pour palier aux tremblements de terre qui fais rage au Portugal. Mise en scène d'un auto-da_fé en musique et sur un discourt pathétique que des habitant érudits (étudiants et enseignant) exécutent ses deux inconnues. Comme à son habitude Candide suit son maître Pangloss dans sa vision optimiste mais perd enfin la croyance aveugle en cette philosophie anéantis par le décès de son mentor pendu sous ses yeux «  si c'est ici le meilleur des monde possibles, que sont donc les autres » (chapitre sixième). La violence de la guerre est également présente et dénoncé dans l’œuvre de Voltaire en effet le chapitre 3 porte sur les bulgares. Dans ce chapitre Voltaire dénonce la guerre sous la forme d'une pièce de théâtre, une fois encore les propos de Jean Starobinski sont renforcé car dans les chapitre suivant voltaire utile toujours des événement plus ou moins imaginaire pour faire passé ses messages, l’aspect mélodieux des armes convertis en instrument de musique et les corps tombé des civils et des soldats pérît comme un  magnifique tableau au du jeune Candide dénonce toujours cette visé optimiste mais à cela s'ajoute une dénonciation de la violence de ces guerres qui ruines pays et population et qui les annihilent peu à peu sans que personnes ne s'y opposent durablement comme ci cela était une activités bénéfique pour tous.

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