Candide, Voltaire
Résumé : Candide, Voltaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dlcxali • 18 Décembre 2020 • Résumé • 779 Mots (4 Pages) • 461 Vues
Chapitre 3: la guerre
Une fois arrivé sur le champ de bataille, je fus étonné par l’organisation des deux armées. Cela ressemblait beaucoup à une parade militaire à une fête. Pour accompagNFCSQner le tout, de nombreux instruments de musiques jouaient. Les canons tuèrent à peu près 6 000 personnes de chaque armées, et les baïonnettes un bon millier de personnes. Au total, il du y avoir environ 30 000 hommes tués. Ce spectacle me fit peur, j’eus tellement la frousse que je dus me cacher quelque part pour de pas regarder. Pour mon bien, je décidai de partir pour trouver un village. Malgré moi, j’étais obligé de passer par-dessus les corps et les cadavres d’hommes, mais tout en fermant les yeux, c’étais trop horrible pour moi. Les deux villages que j’ai traversés était en ruines, détruit par les bombardements, avec beaucoup de morts, de blessés ou d’habitants brulés. Une fois arrivé en Hollande, je n’avais plus de provisions et personne ne voulait m’aider, sauf une gentil homme nommé Jacques, qui avec beaucoup d’hospitalité, voulu bien me nourrir et me donner de quoi me laver.
Chapitre 5/6 : le tremblement de terre
Avec Pangloss, nous avons décidé de rejoindre les Etats Unis, mais nous avons fais naufrage à Lisbonne. Une fois arrivés, il y a un tremblement de terre, ce qui amena l’inquisition à faire un autodafé, qui est une cérémonie ou l’on exécute les hérétiques condamnés. Je ne sais pourquoi, mais Pangloss et moi avons été condamné, l’un pour avoir parlé et l’autre pour avoir écouté. Nous avons été condamnés avec deux autres hommes, qui eux avaient refusé de manger du lard. Ces deux hommes ont été brulés, Pangloss fut pendu et moi je fus fessé en cadence.
Chapitre 17/18 : le pays d’eldorado
Sur le chemin pour arriver à la Cayenne, nos chevaux moururent de fatigue et nous n’avions plus de provisions. Nous avons fini par trouver des fruits, ce qui finit par être notre nourriture pendant un mois. Cacambo aperçoit finalement un canot, nous décidons donc de le prendre pour traverser le fleuve, rempli de cocos. Mais malheureusement, au bout de 24h, le canot se casse. Nous finissons donc le trajet à pied. Après avoir marcher quelque temps, nous arrivons enfin dans le pays d’eldorado. A notre arrivée, nous étions surpris de voir des enfants joués avec des palets, mais quand nous nous sommes rapprochés, ce n’étais pas des palets mais des rubis, émeraudes ou encore de l’or. Nous sommes accueillis par des hôtes qui nous proposent de manger, ce que nous acceptons bien volontiers. Après avoir bien manger, nous décidons de les payer mais ces derniers se mettent à rire. Cacambo et moi ne comprenons donc pas, nous leur demandons ce que les fais rire. Ils nous expliquent que nous voulons les payer avec des cailloux qui viennent de leur chemins. En sortant de leur maison, nous nous dirigeons vers la maison d’un vieillard, d’après l’hôte, cet homme est le plus savant du royaume. Le vieillard nous fit entrer, et commencé à nous parler un peu de lui. Puis, nous en sommes venus à parler de femmes, d’arts ou encore de mœurs. Après cette longue conversation, nous montons dans un carrosse qui nous mène au palis du roi. On nous habilla d’une robe avec un tissu en duvet de colibri, puis on nous emmena faire une visite de la ville. Je demandai s’il y avait une palais de justice ou un parlement, mais je fus surpris de savoir qu’il n’y en avait pas. Il n’y a pas non plus de prisons, mais un palais des sciences ! Avec Cacambo, nous décidons de rester un mois là-bas. Au bout des un mois, j’ai eu l’idée de devenir riche pour racheter Cunégonde. Les habitants de la ville nous ont donc construits une machin pour sortir de cette ville car il n’y a pas d’autres moyens.
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