Allah n'est pas obligé
Étude de cas : Allah n'est pas obligé. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emilyegannn • 25 Avril 2019 • Étude de cas • 558 Mots (3 Pages) • 1 400 Vues
ALLAH N'EST PAS OBLIGÉ
INTRODUCTION:
> développement de la société de consommation
> vers fin des années 1950
> dessine et s'installe le courant de la postmodernité + la consommation,
> perte de confiance envers l'institution constitue un facteur - influence la littérature de l'époque
> Ahmadou Kourouma, un auteur ivoirien - parle d’une importance particulière à la critique de la société africain sous l'emprise des régimes autoritaire
> Le publication de Allah n'est pas obligé en 2000 - propose un roman déshonorant
> Birahima, personnage principal, jette un regarde critique sur la société a l'intérieur de laquelle il évolue comme un hooligan classique
> Il appartient à une classe se situant au bas de l'échelle sociale
ARGUMENT 1:
> Birahima critique le société qui l'entoure
> La première institution qu'il pointe du doigt et sur laquelle il jette un regard empreint de cynisme est la religion << Allah n'est pas obligé d'être juste dans toute ses choses ici-bas. >>(pg.7) - reprend-il à maintes reprises
> Négation suivie du verbe <<juste>> constitue une figure ironique - chacune des grandes religion qui éclairent le monde actuel
> Une puissance divine juste, bonne et sage est mis en valeur - justice serait donc une des fonctions premières d'un dieu de se nom
> Cependant, le protagonist,en affirmant qu' Allah n'a pas toujour le devoir d'être juste - plutôt avancer qu' Allah manque quelquefois à son devoir
> répétition de cette phrase << Peut on vraiment croire en une religion dont le dieu ne respect pas ses fonctions premiere?>> (pg.42, pg.95, pg.143, pg.159, pg.181, pg.222)
> suite l'avènement d'événements injustice montré l'idée d'une dieu indigne occupe chaque fois davantage de place dans l'esprit de Birahima
> Birahima perde ainsi peu à peu la foi en l'islam - Birahima porte un jugement sévère envers le gouvernement et les chefs d'État
> moque notamment le chef libérien papa le bon << le colonel papa le bon avait les clés du bunker a la ceinture sous le soutane. il ne s'en séparait jamais. il y avait des choses dont papa le bon ne se séparait jamais; les clés de l'arsenal, son eternal kalach et le grigri de protection contre les balles. >> (pg. 69)
ARGUMENT 2:
> Narrateur est Birahima, un jeune garçon qui
relate sa triste histoire de small soldier
> Dont l’instruction primaire n’a pas dépassé le CE2. Lorsqu’il relate les circonstances de l’excision de sa mère
> Il présente, pour un lectorat étranger au monde ouest-africain,
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