A une passante de Charles Baudelaire

A une passante de Charles Baudelaire est un sonnet tirer du recueille de poème les fleurs du mal ce poème nous parle de la rencontre entre Charles Baudelaire et une femme ce sonnet appartient au thème romanesque mais diffèrent des autre poème de ce genre le poème exploreras l’attirance, l’espoir et l’échec comment ce poème met en opposition l’Ideal et le spleen nous verrons d’abord comment et dans quelle cadre se déroule la rencontre puis les réaction du poète et pour terminer ces réflexion suite a sa disparition

Dès le premier vers le contexte de la rencontre est présenté comme désagréable la rue ou se dérouleras la rencontre est personnifier « la rue hurlait » ce qui couplet a l’adjectif « assourdissante » nous la présente comme dangereuse et insupportable

l’apparition de la passante au premier regard ne change pas l’état d’esprits du poète il la voit comme « longue, mince, en grand deuil » mais reconnais ca beauté « douleur majestueuse » mais en s’attardent sur cette passante il l’admire de plus en plus cela est montrer avec son analyse de ses geste « d’une main fastueuse », de la préparation de ses habits « le feston et l’ourlet »cette admiration grandissante la mené jusque a la décrire avec les adjectif « agile et noble », « sa jambe de statue » . il y a aussi un allitération en « s » avec les mots soulevant balançant le feston et l’ourlet qui cherche nous faire parvenir le bruit de ses vêtement aussi le rythme du vers 2 a 5 qui sert a la décrire est très harmonieux ce qui souligne l’harmonie de sa beauté

le poète égayer parle passage de cette passante a ses yeux parfaite se voie aussi déstabilisé ce qui est montrer par le changement du rythme beaucoup moins harmonieux pour souligné a quelle point il est déstabiliser cela et aussi montrer au vers 6 ou l’adjectif crispé souligne ce sentiment aussi la comparaison au vers 6 « comme un

extravagant » montre l’opposition des attitude entre la passante et lui dans le vers 7 sa sensibilité a l’égard du regard de la passante lui apparait similaire a un ouragan « livide », « bleu gris » nous montre a quelle point sa beauté le touche d’autre point nous montre a quelle point elle le subjugue ainsi l’antithèse qui oppose la douceur et la violence vers 8 « la douceur qui fascine et le plaisir qui tue »

£ de plus l’auteur se dit « renaitre » vers dix soulignant la joie la vie l inspiration quelle lui insuffle par sa seul beauté

a partir de la 3 -ème trophée le ton change le poète s adresse directement a la femme en son fort intérieure a l’aide du tutoiement aussi au 9 vers l’emploie des mot « éclaire » et « nuit » sont la pour nous montrer que ca rencontre avec la passante l’as illuminer puis désemparé par sa disparition disparition dont la courte durée et mise en valeur par le champ lexical du temp avec « fugitif », « soudainement » aussi la disparition définitive et mise en valeur par les mot « trop tard » et « jamais » par la suite la rencontre appartient au passé et la femme devient un idéal impossible a retrouvé cela est montrer vers 11 « ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? » au vers 12 une triple exclamation qui montre la déchéance de son espoir de la retrouver cette déchéance se confirme au vers 14 avec un appelle

...