Si comme le prétend Georges Orwell, « Big brother is watching you » le fait de se sentir surveillé, est-ce un viol de la vie privée ?
Dissertation : Si comme le prétend Georges Orwell, « Big brother is watching you » le fait de se sentir surveillé, est-ce un viol de la vie privée ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Camille Odye • 9 Février 2023 • Dissertation • 607 Mots (3 Pages) • 328 Vues
« Nous avons neuf mois de vie privée avant de naître, ça devrait nous suffire. » (citation d'Heathcote Williams)
Les quatre documents proposés à l’étude s’intéressent au fait d’être surveiller régulièrement.
Si comme le prêtant Georges Orwell, « Big brother is watching you » le fait de se sentir surveillé, viol la vie privée ?
Tout d’abord, nous évoquerons dans la première partie que nous sommes régulièrement surveillé malgré soi. Deuxièmement, nous traiterons que certain profite de la technologie pour exploiter les informations de l’internaut.
Dans cette parti nous verrons que nous sommes régulièrement surveillé malgré soi.
Tout d’abord, dans le roman de Georges Orwell, à chaque pallier, une affiche était collée au mure face à la cage d’ascenseur ou on a l’impression qu’elle nous suit du regard, dans l’article de Vincent Noyoux il affirme qu’a Levallois-Perret, plus de quatre-vingts caméras filment les allées venu des passants, dans le document 4 nous voyons clairement une personne regarder quelqu’un qui attends le métro sans savoir qu’elle est observé. Les auteurs sont d’accord sur le fait que nous sommes quotidiennement surveillé.
Philippe Breton lui explique que les grandes régies américaines implantes des logiciels dans la mémoire des ordinateurs, qui permet de suivre les déplacements sur le réseau de leurs propriétaire et de connaître leurs personnalité. Tandis que George Orwell écrit qu’un hélicoptère glissa entre les toits pour regarder aux fenêtre des gens. Vincent Noyoux lui dit qu’il suffit de passer prés d’une borne avec un téléphone pour être informé de la position géographique du porteur sans son autorisation. Dans ses documents les auteurs on les mêmes idée pour dire que nous sommes surveiller contre notre gré.
Deuxièmement les différents auteurs évoque que certain profite de la technologie pour exploiter les informations de l’internaute.
Dans le document 1, le télécran, la technologie de l’époque captais touts les sons émis par Winston et qu’il pouvais être aussi bien vu qu’entendu. Selon Vincent Noyoux les technologies appelé « Web bugs » ou « cookies »permet des l’arrivée sur un site wed de s’enregistrer automatiquement sur le disque dur de l’utilisateur, à l’image de Mario Fourmy, nous pouvons constater que la personne peut surveiller et observer grâce à la technologie. Concernant Philippe Breton dans son extrait il nous explique que maintenant avec les payements en ligne et le manque d’intermédiaire, en un clique nous pouvons effectuer un achat, donc donner nos informations personnels. Les idée perçu dans ses documents nous explique que la technologie permet de nous surveiller.
Dans l’article de Vincent Noyoux, il décrit que les employeur qui redoutent que leurs salariés passent trop de temps à surfer n’hésitent plus à les surveiller car une omniscience nourrie par la systématisation de son usage, donc en un ans la Clin a reçu plusieurs plaintes des salariés. Il dit également que les État autoritaire comme la Chine a fais main basse sur les fournisseurs d’accès. Pour Philippe Breton certaine régies comme BoubleClick sont accusées de croiser les données avec des fichiers nominatifs. Dans ces deux documents nous pouvons constater que certain profite de cette technologie.
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