Plan détaillé de la préface du dernier jour d'un condamné, Victor Hugo
Commentaire de texte : Plan détaillé de la préface du dernier jour d'un condamné, Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar thais.rakkaus • 19 Février 2018 • Commentaire de texte • 337 Mots (2 Pages) • 9 455 Vues
Introduction :
En 1832, Victor Hugo rajoute une préface à son plaidoyer le dernier jour d'un condamné. L'auteur dans ce réquisitoire énonce tout les arguments des défenseurs de la peine de mort pour mieux les dénoncer par la suite. Ainsi, nous pouvons nous demander quel est l'intérêt de mettre en scène un dialogue. D'abord en descriditant les partisans puis en montrant l'implication du locuteur et finir par prouver l'implication du lecteur.
Problématique : Quel est l'intérêt de mettre en scène une forme dialoguale ?
I. Des partisans discrédités
A/ Tous les partisans interpelés
Argument: Victor Hugo prle avant tout à ceux qui sont pour la peinde de mort.
B/Le discours polémique
Argument : Le dialogue permet de montrer une opposition.
C/ L'ironie provoquante
Argument: Victor Hugo se moque ouvertement des partisans de la peine de mort.
II. La présence du locuteur
A/Auteur également locuteur
Argument: Prouver que Victor Hugo est églement celui qui parle
B/ L'emplois des maximes (=formule exprimant une règle morale)
Argument : énoncer des évidences sur la peine de mort
C/Le raisonnement contre les arguments
Argument: Victor Hugo a toujours une réponse raisonnée et convaincante face aux arguments trop facile des partisans.
III. L'implication du lecteur
A/Le pacte du lecteur
Argument: Le lecteur devient complice de l'auteur grâce aux pronoms personnels.
B/Le sarcasme
Argument : Rendre ridicule les partisans de la peine de mort.
C/L'horreur de la peine de mort
Argument: Montrer que la peine de mort est qqch d'hinumain.
Conclusion:
Pour conclure, la forme dialoguale permet la critique de la pensée des partisans en les ridiculisans de ma,ière provoquante, de cette manière, il peut montre l'hinumanité de la peine de mort et l'impact qu'elle a sur un individu. C'est le même procédé que nous retrouvons dans l'incipit du dernier jour d'un condamné dans lequel Victor Hugo dénonce la souffrance et l'agonie des condamnés.
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