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Petit traité des grandes vertus

Cours : Petit traité des grandes vertus. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Décembre 2019  •  Cours  •  827 Mots (4 Pages)  •  718 Vues

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Petit traité des grandes vertus :

Ce texte est un extrait de l’ouvrage « Petit traité des grandes vertus » écrit par André Compte-Sponville et publié ne 1995. Ce dernier est l’un des plus célèbres célèbres philosophe français du 21 ème siècle, ayant été membre du Comité consultatif national d’éthique, qui est un organisme indépendant français ayant pour but de « donner des avis sur les problèmes éthiques et les questions de société soulevés par les progrès de la connaissance ». L’ancien normalien est un philosophe appartenant au mouvement humaniste ( qui tire ses méthodes et sa philosophie de l'étude des textes antiques) et du matérialisme ( Doctrine d'après laquelle il n'existe d'autre substance que la matière (s'oppose à idéalisme)

Prix La Bruyère de l’Académie française, traduit en vingt-quatre langues, le Petit traité des grandes vertus est l’un des plus grands succès philosophiques de ces dernières décennies. De la Politesse à l’Amour en passant par le Courage et la Tolérance, André Comte-Sponville, en s’appuyant sur les plus grands philosophes, fait découvrir à travers cette ouvrage dix-huit des vertus qui guident la vie de l’Homme.

L’extrait que nous allons maintenant étudier est un passage du 6ème chapitre ou plutôt de la 6ème vertus décrite par André Compte-Sponville dans son ouvrage qui est la vertu de Justice. Dans ce passage, le philosophe nous dresse une critique de la justice, qui ont le comprend bien est une notion crucial formant un enjeu important dans le bon fonctionnement nos sociétés actuelles.

On va maintenant étudier la manière dont le philosophe aborde la question de la justice à travers cette extrait.

Analyse

1) Dès les premières lignes, l’auteur décrit la notion de « douceur» et de « compassion » comme les prémices de la justice, décrivant ces types d’émotions n’ont pas comme des troubles d’une justice qui se doit impartial mais plutôt comme le fondement de la défense des plus faibles vis-à-vis des plus fort.

- La justice = point de départ certain d’une société, qui s'impose à l'esprit avec une telle facilité qu’il n’y a même pas besoin d’argumenter : «socialement indispensable, c’est une évidence »

- Ne pas confondre justice pour protéger les faibles et pour punir les forts sinon la justice ne peut pas être considérait comme impartial = principe de base : « elle est le respect de l’égalité des droits, non des forces, et des individus, non des puissances »

- La justice est une vertu = morale que l’humain cherche à suivre = le philosophe voit la justice comme devoir que l’homme s’oblige à accomplir de manière plus ou moins bonne

2) André Compte-Sponville à travers décrit la citation de Pascal comme cinglante mais claire en effet « La justice sans force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique » = parallélisme et opposition dans cette citation = corrélation entre la force et la justice.

- La force prédomine sur la justice mais elle sont complémentaires afin qu’elle soit appliqué correctement

- La politique = un mélange équilibré entre

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