Note de Synthèse sur la lenteur

Note de Synthèse :

S7 : Corpus « Marcher »

Nous vivons dans une société hyperactive où tout va trop vite, où l’on ne prend plus le temps de vivre. Nous sommes dans un train de vie qui est infernal.

Ce corpus est composé de trois documents dont les documents un, Le sens de la marche écrit par H. Lhérété et publié en 2012 ainsi que le document deux, Éloge des chemins de la lenteur, écrit par D. Le Breton qui lui aussi a été publié en 2012. Ce sont tous deux des essais. Quant au document trois, La Presqu’île écrit par J. Gracq est un roman publié en 1970.

Ainsi, à l’aide de ce corpus nous nous interrogeront sur ce que la marche peut apporter à notre quotidien.

Dans un premier temps, nous nous pencheront sur ce que la marche nous apporte d’un point de vue social. Puis dans un second temps, nous nous intéresseront sur ce que la marche nous apporte personnellement.

La marche est présente dans notre quotidien depuis que l’Homme sait ce tenir debout.

Dans notre société actuelle, la marche est essentielle en bien des points. La marche permet de réduire considérablement les gaz à effet de serre tel que le dioxyde de carbone (CO2) comme nous l’explique Héloïse Lhérété. Elle nous explique également que de nombreuses personnes recherche à faire du « tourisme vert » en faisant de la navigation fluviale ou du vélo. C’est un marché en plein croissance.

La marche à également un impact sur le bien-être des populations, car l’air est moins polluée.

Depuis quelques années, nous essayons de revenir à un mode de vie plus sain. La marche est un phénomène qui est devenu aussi important que de manger sainement.

Nous vivons dans une société où nous ne prenons pas le temps, où nous devons tout faire rapidement. Même nos déplacements doivent être bref, aller d’un point A à un point B par le chemin le plus court surtout le plus rapide. Des personnes si opposent et veulent prendre le temps d’admirer le monde comme nous le démontre Julien Gracq. Son personnage, qui est à la base véhiculé s’arrête sur le bord de la route pour prendre le temps de marcher et de se perdre dans le village. Ce comportement permet de revenir à soi, d’évacuer une pression dû au stress.

Le fait de marcher permet une volonté de prendre congé de soi, de retrouver le goût à la vie, et surtout de savourer le monde à sa juste valeur.

Pour la purification de soi, les marcheurs prennent des sentiers de randonnées telle que Saint Jacques de Compostelle. C’est ce que nous a expliqué David Le Breton.

En somme, ces documents nous montre que la vie vaut le coup d’être vécu sans trop de stress. Il ne faut donc pas se précipité sur nos divers taches. Il faut prendre le temps de contemplé le monde tel qu’il est. La marche est un bienfait pour notre monde ainsi que pour soi-même.

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