Monologue de la mère de Perceval
Discours : Monologue de la mère de Perceval. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alonesinger • 13 Décembre 2017 • Discours • 654 Mots (3 Pages) • 918 Vues
Monologue mère de Perceval
Mon prénom est Herzeleide, ma vie a toujours été riche et somptueux, J’était la femme d'un chevalier important, mais ensuite tout a changé.
Je vivais dans un château avec ma famille, puis je suis passé à la foret avec mon fils Perceval mais il m’a quitté pour poursuivre sa vocation... , vous comprendrez pourquoi.
Aujourd’hui, je ne suis plus appelé par mon prénom, mais la Dame Veuve. Pourquoi? Je vous raconterai la tragique histoire de mon doux mari, le Roi Pellinor de Listenois et à partir de ce que vous comprendrez la raison de mon transfert.
Pellinor était le meilleur chevalier de la contrée et au cours d’une bataille il fut blessé aux jambes, ce le rendit infirme.
Il savait. la pauvreté et il dut s’exiler dans ce manoir perdu au fond des bois alors que mon cher fils Perceval avait seulement deux ans.
J’ai eu deux autres fils, mais le malheur, bien sur, a toujours été proche de ma famille.
Donc, mes enfants sont morts après leur adoubement alors qu’ils servaient deux rois voisins.
Vous ne pouvez imaginer ma souffrance quand, après la mort de mes enfants, mon mari est mort aussi.
Lorsque vous perdez votre famille de cette façon, vous voulez juste vous isoler et être votre propre, ce qui est ce que j’avais fait.
Je me suis retiré du monde: la vérité est que je craignais, j’étais terrifié par ce que les batailles et l’adoubement pourraient faire pour mon seul survivant fils Perceval.
Je ne voulais plus rien entendre concernant la chevalerie parce que je compris qu'il était de sa faute que j'avais perdu toute ma famille.
Donc, je fait le mieux que je pouvais faire: je pris mon fils et je me réfugie dans la foret, dans un manoir, loin de tout, où personne ne pouvait nous trouver, où les chevaliers ne pouvaient pas nous atteindre et prendre mon enfant.
J’ai protégé Perceval, j’ai le grandi dans l’ignorance du monde de la chevalerie, je le grandi sans détails sur le reste de la famille.
J'ai le grandi sans savoir, juste le droit de vivre heureux.
J’ai lui empêché de devenir chevalier,je n’ai fait lui connaître les armes, l’armure, les épées, tout ce qui concerné ce monde.
Il était nécessaire pour qu’il ne savait pas le même sort que son père.
Cependant, je lui fait connaître la foi, un dieu. J'ai le prévenu du mal et de ce qui aurait pu se produire s'il avait déménagé loin de la maison où nous avons vécu.
Je lui ai enseigné la morale, ce qui est bon et ce qui est mauvais. Essayer de conserver sa vie était mon seul but, mais peut-être que j’ai exagéré avec la protection et l'isolement.
En fait Perceval, malgré toutes mes précautions, un jour, quand il avait seulement 15 ans, a rencontré un groupe de chevaliers à la brillante armure. Il en si enthousiasmé qu’il a quitté aussitôt le refuge et moi malgré mes supplications.
Je lui ai dit qu'il était dangereux, qu'il ne devrait pas aller, j’ai lui dit rester avec moi, mais il n'a pas écouté.
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