Les reproches fait au roman de Zola
Commentaire de texte : Les reproches fait au roman de Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alex6789 • 12 Août 2019 • Commentaire de texte • 523 Mots (3 Pages) • 2 360 Vues
Mr Ulbach journaliste et critique du Figaro est connu pour ces articles satiriques signés de son pseudonyme «Ferragus ». Pseudonyme basé comme vous pouvez le voir ci-contre sur un radical assez proche de son tempérament :
Fera = animal sauvage,
Ferrea = bêche, outil tranchant,
Ferreus = de fer, inhumain.
Il attaque violemment ce qu’il nomme la «littérature putride ».
Reproches fait au roman de Zola.
On dit que la curiosité est un vilain défaut, ici, la curiosité de M. Ulbach l’a glissé dans TR autrement dit avec ses mots : « dans une flaque de boue et de sang » ce qui n’est pas très joyeux. Il qualifie E.Zola d’être enthousiaste des crudités puisque il a « déjà » publié La confession de Claude. Ferragus écrit qu’ «on meurt beaucoup dans ses Derniers montagnards » mais cela rend « doux et tolérant ! » puis l’allusion aux romans de Zola avec en début de phrase « Quant à Thérèse Raquin » montre que le journaliste émet un jugement pessimiste. Les mots comme « horreur, sang, infamies, immoral, jolie pourriture, putridités… » Démontre bien que ce dernier formule des propos défavorable vis-à-vis du romancier. Les liens entre Zola, Courbet, Manet et bien d’autres sont présents tout au long de l’article. « Toute la honte de l’école est là dans ces deux toiles, comme elle est ailleurs dans les romans : la débauche lassé et l’anatomie crue ». Il reconnaît que les tableaux sont bien peints et d’une réalité incontestable mais « c’est bien bête ». Louis écrit des extraits du roman qu’il renverse de suite. Il résume l’intégralité du roman avec des touches d’ironie satirique.
Tous ces éléments démontrent bien que cet article relève du blâme.
Que reproche exactement le journaliste à l’œuvre de Zola ? Sur quels plans se situe, de ce fait, la critique ?
Le journaliste reproche à l’œuvre de Zola d’être bien trop cru dans les mots, de trop décrire les scènes d’horreur et de sang puisque cela est immoral. La monotonie de l’ignoble est pire que toutes les monotonies. Il veut forcer les romanciers à prouver leur talent autrement que par des emprunts aux tribunaux et à la voirie. Il prétend que si un personnage de roman ne peut être mis au théâtre, ce personnage est monstrueux et que le roman dans lequel le personnage figure est immoral.
Je ne comprends pas vraiment la deuxième partie de la question.
Je pense que la critique se situe sur un plan personnel car tout au long de l’article de Louis Ulbach on ressent comme un ‘ras le bol de ces romanciers trop cru’.
5 recherche des artistes et écrivains engagées sur google je pense que sa aidera a plus affiner la recherche et pour un exemple il y a la chanson de borris vian "Monsieur le président" qui est un véritable exemple d'une oeuvre qui a fait polémique je l'ai étudier l'année dernière sinon tu peux aussi taper oeuvres engagée sur google sa va te sortir surement plein de choses a ce sujet ;)
Emma Bovary de Flaubert
la bataille d'Hernani (ah Gauthier avec son gilet rouge bref)
les impressionnistes et Le Déjeuner sur l'herbe (le salon des refusés)
Les fleurs du mal
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