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Le court et le bref

Dissertation : Le court et le bref. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Juin 2019  •  Dissertation  •  1 719 Mots (7 Pages)  •  443 Vues

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« Le bref, c’est du court dans lequel a été injecté de la littérature. » (Un amoureux des lettres) 
Discutez cette affirmation à la lumière de La Bruyère, Baudelaire, Giono et un autre auteur de votre choix.

Dans l’histoire, la littérature nous à toujours montrer qu’avec le temps ces codes on sut s’adapter au monde avec laquelle elle interagissait. Du conte oral au papyrus, à la maxime ça forme a toujours su se transformer. Mais son contenu ( le procéder littéraire sous- jacent) lui a toujours su trouvé sa place qu’il soit dans un contenant exigu ou élargie. Et quand (un amoureux des lettres) nous dit «  le bref, c’est du court dans lequel a été injecté de la littérature. » on peut être intrigué par cette combinaison presque chimique, court et littérature qui est injectée par l’auteur dans un corp textuelle, et qui nous ramène donc au résultat de la brièveté. Pour pouvoir en comprendre tout les tenants et aboutissant de cette affirmation nous allons voir par quel procéder l’auteur « injecte » de la littérature dans un espace restreint ; Si La littérature inversement peut être « injectée » dans un format long ; Et pour terminer nous allons voir si cette mixture chimique n’est pas la matérialisation ultime du chef d’oeuvre. On Discutera cette affirmation à la lumière des caractère de La Bruyère, du Spleen de Paris de Baudelaire, de solitude de la pitié de Giono et conte et entretiens de Diderot .

Donner du corp à un texte court n’est pas chose simple, car il suffit d’un mot manquant pour qu’une affirmation qui aurait pu être subtile, et juste assez claire pour être comprise soit compromise par un manque d’information ; ce qui aura pour effet instantané le manque de clarté, et une obscurité qui ferai fuir les plus friands d’énigme. Mais certains auteurs avec beaucoup de style et d’habilité arrive a faire passer de grands messages dédié à l’humanité avec très peu de sentence comparé a l’intensité du message promulguer. Et pour n’en cité que quelques uns : Jean Giono avec sa nouvelle « champ du monde » ou il personnifie l’homme d’une manière qui peut sembler déroutante au plus rationnelle d’entre nous a su, travailler son texte avec habilité et minutie l’example type, l’une de ces personification marquante « un fleuve est un personnage, avec ses rages et ses amours, sa force, son dieu hasard, ses maladies, sa faim d’aventure. Les rivières, les sources sont des personnages: elles trahissent, elle sont belles, elle s’habit de joncs et de mousse. »( p.181) ici, il nous ramène a notre position d’habitant de la terre tel que l’on fait pompeusement certains auteur auparavant ; mais nous pouvons voir que c’est une initiation a son livre « champ du monde » qui sortira plus tard, une façon de préparer le lecteur, de l’accommoder a la remise en question, qui est beaucoup plus simple a procésser, quand elle n’est pas lourde et insistante. D’autre part Jean Giono a travers l’ajout des points de suspension( procéder qui est très récurrent dans ces nouvelles) stimule le lecteur dans la quête de sa vérité dans la mesure où l’attente d’une réponse suscite une réflexion profonde ou une frustration insatisfaisante pour certains. Mais avec certitude le non- dits ne laisse personne indiffèrent.Là ou Giono stimule l’homme a se reconnecter avec la nature en déclamant « ..ce qu’il faudrait, c’est le mettre à sa place, ne pas le faire le centre de tout.. » Diderot aurait plutôt tendance a reconnecter l’homme avec lui même, avec ces vices, ces inconstance (dans madame la clairière par example) et de ce fait a l’émanciper de la religion et de l’obscurantisme ( dans entretien avec la Maréchale) mais là ou Diderot ce démarque c’est dans ça manière explicite de demander au lecteur sa participation, il souhaite le sortir de sa caverne comme le ferait Platon ou Socrate. pour illustrer ces propos, au début de ceci n’est pas un conte il nous dit: « Lorsqu’on fait un conte, c’est à quelqu’un qui l’écoute, et pour peu que le conte dure, il est rare que le conteur ne soit pas interrompu quelquefois par son auditeur. Voilà pourquoi j’ai introduit dans le récit qu’on va lire et qui n’est pas un conte ou qui est un mauvais conte si vous en douter un personnage qui fasse à peu près le rôle du lecteur, et je commence. » des textes philosophique déguiser en conte, un peu comme quand un parent qui cache des épinards dans la purée de ces enfants; ils rend des théorie difficile, et peu digeste en un conte presque enfantin et c’est en celà que « c’est un mauvais conte.

Cependant il y’a une chose a ne pas omettre c’est que malgré tout le roman est inhérent a la littérature malgré sa taille, malgré sa densité, sa concision le roman porte en lui les stigmates de la connaissance, de l’émotion humaine. Même une oeuvre très longue tel que le seigneur des anneaux de Tolkien, a de la littérature en son sein ; des descriptions a foisons, qui son pour certains le moyen de pouvoir s’enfermer dans un monde, une longue pensée interminable,

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