Le château de Chenonceau
Commentaire d'oeuvre : Le château de Chenonceau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alicali • 11 Juin 2019 • Commentaire d'oeuvre • 1 185 Mots (5 Pages) • 473 Vues
Le château de Chenonceau connu sous le nom de « château de dames », situé au nord de la France en Indre-et-Loire dans la commune de Chenonceau, fait partie des châteaux incontournables de France les plus visités. Le château possède de rares tapisseries et des peintures anciennes. Chenonceau est un site exceptionnel accueillant un grand nombre de visiteurs par an notamment grâce à ses magnifiques jardins fleuris à chaque saison. Ce château fut construit, aménagé, administré et protégé par six dames différentes qui marqueront l’histoire du célèbre château de Chenonceau.
Les premières traces du château sont celles d’un moulin fortifié, entre les mains de la famille Marques datant du XII et XIIIème siècle. Suite à la guerre de cent ans, le château fut brûlé et rasé par les français. De nos jours, il ne subsiste de ce château que le donjon, connu sous le nom de la tour « Tour de Marques ». Jean II Marques, le propriétaire devra faire face à des problèmes financiers et politiques, il est donc dans l’obligation de devoir vendre le château. Les bâtisseurs du monument actuel sont Catherine Briçonnet et son mari Thomas Bohier qui ont racheté le château en 1513 et qui en ont fait un véritable château digne de la Renaissance. Ils l’ont construit le long du Cher, cette rivière située au centre de la France d’à peu près 370 km de long. La construction a durée jusqu’en 1521. Au début, il s’agissait seulement d’une demeure typique de l’époque, carrée ornée de quatre tours. Après la mort de Thomas Bohier, Chenonceau est alors devenu une résidence royale. Les six châtelaines vont chacune apporter leur touche d’originalité au château.
Mais qui sont ces six châtelaines ?
« Salut tout le monde, je m’appelle Catherine Bohier ( ou Briçonnet ;) ) et je suis la
première châtelaine du château de Chenonceau. Ensemble avec mon mari, nous avons rasé la maison d’origine et construit un pavillon à travers le lit du Cher. Mon mari étant souvent absent, j’ai supervisé les travaux, ainsi j’ai donné mon premier nom féminin à la bâtisse. J’ai conçu au lieu d’un escalier circulaire, un escalier droit baigné de lumière. Malheureusement, je décède en 1526. Le château a donc été confié à mon fils, Antoine Bohier. Mais celui-ci se verra obligé de le céder au roi de l’époque, François 1er car après ma mort, on a découvert de nombreux détournements de fonds manigancés par mon mari, Thomas. »
Le roi ne s’occupera pas beaucoup de Chenonceau. Et à la mort de celui-ci, son fils, Henri II, marquera un intérêt certain pour le château et l’offrira à sa maîtresse Diane de Poitiers.
« Hello les amis, moi je suis Diane de Poitiers, dame d’honneur de Catherine de Médicis, la femme de celui qui ne pense en réalité qu’à moi. Je suis la deuxième châtelaine réputée pour ma beauté et mes talents de séduction, je suis quand même la favorite de Monsieur Henri II ! Je suis restée 12 ans à Chenonceau où j’ai fait bâtir un splendide jardin de 12 000 mètres carré que que l’on a appelé « jardin de Diane de Poitiers » et un pont reliant le château à la rive gauche du Cher pour s’y promener et chasser. »
A la mort de Henri II en 1559 Catherine de Médicis, la femme de ce dernier, elle qui haissait évidemment Diane, la frappa au point sensible. Sachant que Diane était très attachée au château de Chenonceau, elle la força, en 1559, d’échanger celui-ci contre le château de Chaumont. Diane s’y rendit donc et mourut 7 ans plus tard en 1566. Le château appartenait
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