La Beauté, Charles baudelaire

Charles Baudelaire

La Beauté

Charles Baudelaire est le poète de XIX°siècle. Il a écrit un recueil poétique en 1857 ou celui-ci regroupe 138 poèmes. Un procès à été perdu ou il a du supprimer 6 d'entres eux et payer une amende.

L'Etrait que nous allons étudier est un extrait d'un poème de la section «Spleen & Idéal» qui s'intitule «La Beauté».Ce texte parle de la beauté et de l'éternité de la statue.

(Pbm) Dans un premier temps nous verrons l'allégorie de la beauté et dans un second temps le récit d'un combat.

I-Allégorie de la beauté

        a) Une énonciation originale

La statue parle → (v1à17)  «je»;»j'» => Anaphore

                              (v14)      «mes» => Personnification

                              (v2)         «mon» => de la statue

→ «je» placé comme sujet = Narcissisime ? + Allégorie de la beauté

Les destinataires → (v3) => «poète»  

                                 (v9) => «les poètes»        

                                 (v11) => «dociles amants» =>Répétitions+Métaphore du couple amoureux statue/poète

→ Fascination/envoûtement jusqu'à l'amour du poète pour la statue = poète/amant

b) Un hymne à al beauté

Beauté mise en avant (v2)-(v6) → Qualification méliorative

→ Statue irrésistible =Blancheur=Pureté

Statue → beauté froide (v1)-(v5)-(v6) => Comparaison beauté/froideur = Analogies avec Méduse ? → Hymne à la beauté

II-Le Récit d'un Combat

        a) La fascination du poète

Poète envouté (v9) →«Fasciné» => Métaphore filée du poète                                (v12)  amant

                        (v3) →«amant»

→ Statue + Poète = 2 amants !

→ Une déesse froid et hautaine: (v1) => «pierre» ; «belle»

                                                      (v6) => «coeur de neige»

                                                      (v5) => «je trône»        

=> Comparaison/Métaphore de la froideur

→Narcissique,hautaine, elle se sent supérieure

b) La souffrance du poète

Passion douloureuse : (v2)-(v11) => Métaphore de la blessure

→ Souffrance longue/insupportable => Douleur de l'amour

→ Beauté morbide et mortifère de la beauté : (v7)-(v8) => Rythme syméthiquement parfais au vers 8.

→ Beauté =Méduse car elle fige et fixe pour l'éternité (mort)

Conclusion

Réponse à la Pbm

rend la beauté éternelle grâce aux procédés tels que l'allégorien le champ léxical du temps,la structure du poème composé d'un sonnet en alexandrin et de rimes embrassées dans les quatrins.

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