L'assomoir-Emile Zola
Analyse sectorielle : L'assomoir-Emile Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mathey2566 • 21 Juin 2018 • Analyse sectorielle • 1 437 Mots (6 Pages) • 685 Vues
L'assomoir- Emile Zola
Dans la contunuité du Réalisme, le naturalisme se développe au 19éme siècle. ce nouvement mouvement littéraire garde la meme volonté de transcrire le réel en y ajoutant une autre dimension , apportés par les sciences expérimentales. Ainsi tout comme Claude Bernaud avec son Introduction à l'étude de la médecine expérimental en 1865, Zola étudie l'influence de l'héredité et du milieu sociale sur lhommes, notamment dans son cycle littéraire des Rougeaons Macquart une séria de 20 romans écrits entre 1871 et 1893, pour lesquels Zola c'est documenté avec précisition afin de dépendre au mieux le milieu social dont il est question le désignant ainsi comme le chef de fil des naturaliste. Parmi ces romans, L'assomoir écrit en 1876 présente le personnage de Gervaise frappé par un mal héréditaire : l'alcoolisme. Dans cette extrait, Zola décrit la folie du mari de Gervaise, Coupeau un homme interné à l'hopital St Anne du au faite qu'il est sombré dans l'alccol. Le lecteur découvre cette scène de delirium en meme temps que Gervers. Ainsi nous pouvons nous demander comment Zola présente le mal dont souffre cet homme ? Après avoir analyser la facon ndont le romancier decrit la folie qui habite cet esprit fous, nous nous pencherons sur la description physique de cette alcoolique dont la fin tragique semble inévitale.
I Un esprit fou : une scène de delirium tremens facon naturalisme ; ( conséquence neurologique du syndrome du seuvrage d'alcool )
tous les sens touchés :
vue → « fantomes en plein midi » L.23 ne peut etre que faux
« toiles d'araignés »
« rats » = sales animaus L.29/L.24-25 « ces sales animaux » periphrase
« singes » = peur de Coupeau : « étranglé » = hyperbole ; singe remet les lois de la physique en question, donne vit a des antité qui met son ouie en action
ouie → « sonnez cloche » L.34
« orgue » L.34
« on vie au feu, voilà que ca flambe » L.36 = métaphore du feu qui brule son etre ; Ca = démon
toucher → « milliers d'épingles » L.9 = hyperbole
« une bete froide et mouillée se trainait sur ses cuisses et lui enfncait des crocs dans la chair » L.9-10 quelque chose, sensations, halucination d'une extreme violence
odorat → « sentait le vitriol » L.21 = il pense qu'on veut l'empoisonner
gustative → L.16 il boit de la limonade mais pense que c'est de l'alccol
« comme si il avait avalé du feu » L.17 il a perdu ses sensations gustatives, comparaison+ hyperbole
= Scène s'inscrit dans le naturalisme
II Un corps habité par l'alcool
- Intoxiqué par l'alccol, état de manque
- Coupeau ne fait pas de phrases, structure très simple, et répetitions + phrases exclamative
- L.16 « Nom de Dieu » blasphème, juron, parole spontané et il parle tout seul
- Halucination sensorielle
- L.13 comportement animale/ L.15 il crie/ L.17 il hurle = animalisation du personnage, symptome d'un seuverage physique extreme
- Changement de pdv, glissement en pdv interne pour faire comorendre que seul lui voit ses choses
- Tout est exagerer et anxiogéniser
- Il est dans un monde instable = instabilité du personnage L.33 « brusquement »
- Chanson litanie
- Polichinelle ( = coté sacadé, il ne maitrise pas son corps, marionette ) métaphore
- L.6 le tremblement prend le dessus sujet de la phrase + ses jambes sautaient
III Mise en scène tragique pour dénoncer les ravages de l'absynthe
...