L'Albatros, Baudelaire
Résumé : L'Albatros, Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emma.girard0401 • 13 Janvier 2023 • Résumé • 446 Mots (2 Pages) • 328 Vues
Anthologie : Albatros
Introduction :
- Ecrit par Baudelaire
- Dans le recueil Les Fleurs du Mal et la section « Spleen et Idéal »,
- Romantisme et symbolisme
- 4 quatrains en alexandrin,
- Le statut du poète.
Mouvements :
- 3 premiers quatrains = quotidien Albatros
- Dernier quatrain= chute entre l’oiseau et le poète et oblige une relecture
PB / Comment au travers d’une analogie entre l’oiseau et le poète, le poème exprime t-il le sublime de la souffrance ?
Analyse :
Débute par une strate narrative = poète semble raconter le quotidien Albatros et marins => montrer par les périphrases « vastes oiseaux des mers » et « les hommes d’équipage ».
Idée appuyé par emploi de l’adverbe itératif « Souvent » = engage le poème, couplé le présent d’habitude : « prennent », « suivent ».
Opposition haut (ciel) et bas (terre= planches du navire ici).
Monde du bas = fragilité et inconstance grâce à l’intervention de la mer.
Element de l’eau marqué par verticalité inquiétante qui va renforcer la chute de l’oiseau plus tard.
Mer pas tranquille et reflète une certaine forme de violence marqué par la périphrase hyperbolique « gouffres amers » ou encore « tempête » dans la dernière strophe.
Albatros= majestueux grandeurs (« vastes oiseaux des mers »).
Adjectif montre l’immensité de l’oiseau qui finit par se confondre avec le paysage maritime.on peut parler d’hypallage.
Transfert « des mers » => « oiseaux » a pour conse d’accentuer et mettre en valeur de manière hyperbolique son caractère exeptionel.
Albatros aussi grand que paysage dans lequel il evolue. Idée de grandeur est filée tout au long du poéme :
- Périphrase : « rois d’azur », « princes des nuées »= albatros royal.
- Expressins descriptive : « leurs grandes ailes blanches ».
Oiseau semble souffrir d’une grd solitude d’où la relative adjective « qui suivent, indolents compagnons de voyage « = explique la proximité engagée avec les marins et crée par cette solitude.
Emploi du verbe « prendre » dans « prennent les albatros » = comme un piège dans lequel l’albatros tomberait à cause de cette proximité évoquée et le besoins des marins à « s’amuser ».
Marins = méchants et moqueurs.
Alors que le cile= espace ouvert, infini, le monde du navire qui représenteplus largement la terrre est un monde fermé, clos sur lui-même, un espace de la médiovrité.
Parmi les marins, l’albatros devient laid et maladroits adj . « maladroits et honteux », « gauche et veule », « piteusement » ainsi que la comparaison « comme des avirons » qui implique une forme d’abandon de soi et de renoncement). Idée renforcée par les allitérations occlusives en [k] ou en [g] qui accentuent la violence de l’univers terrestre.
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