Journal de bord de lecture de l'Etranger d'Albert Camus
Fiche de lecture : Journal de bord de lecture de l'Etranger d'Albert Camus. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fatoumata Beavogui • 15 Octobre 2018 • Fiche de lecture • 1 775 Mots (8 Pages) • 2 307 Vues
Mon journal de bord
En lisant les deux premiers paragraphe de L’Étranger d'Albert Camus sa ma donner envie de continuer ce roman car il a un début pas comme les autres généralement le début d'un roman est plutôt descriptif au niveau des personnages mais dans ce roman on entre directement dans l'action " Aujourd'hui, maman est morte. " on a aucune description de sa mère a pars qu'elle est dans un asile, ni d'eux deux auparavant, ni de lui physiquement mais juste à sa façon d'être à n'éprouver aucun sentiment il est assez étrange ce qui le lie au titre L’Étranger.
Meursault n'agit pas conformément aux attentes de la société, comme nous pouvons le voir dans ces épisodes de la première partie du livre :
"Aujourd'hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas" il le dit d'une manière comme si il n'avait pas conscience que cette événement est grave il n'éprouve aucune tristesse ce qui assez inhumain. Tout homme pleure ou ressent de la tristesse à un enterrement.
"On l'a couvert, mais je dois dévisser la bière pour que vous puissiez la voir " il refuse de voir sa mère une dernière fois alors que même avant sa mort il ne venait même pas la voir à l'asile.
"J'ai eu alors envie de fumer" il trouve que que fumer a l'enterrement de sa mère n'a aucune importance , ce qui ne ce fait pas.
"le silence de tous ces gens était pénible" comment peut-on trouver le silence pénible le jour d'un enterrement, c'est tout a fait normal qu'il est un silence .
"La femme criait toujours et Raymond frappait toujours" "Marie ma demander d'aller chercher un agent mais , je lui ait dit que je n'aimais pas les agent" il n’a pas voulu aller chercher un agent pour sauver la fille il est sans sentiment n'a rien de commun avec les humains.
Marie lui demande si il veut se marié avec elle il répond d'une manière : " J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait" comme si n’importe qui lui demande il dirait oui.
La fin de la première partie ma particulièrement marquée "J’ai compris que j’avais détruit l’équilibre du jour, le silence exceptionnel d’une plage où j’avais été heureux. Alors, j’ai tiré" car je ne m'attendais pas a ce que Meursault tue , je pensais qu'il allait juste sur cette plage pour ce promène et que quand il recroise l’Arabe qui le pointe son couteau, comme il est aveuglé par le soleil et fatigué par la chaleur, qu'il allait partir mais non par grande surprise Meursault tue cet homme en plus avec le revolver de Raymond à qui il avait retiré avant pour éviter de tué quelqu'un, mais lui l'a faits avec quatre coups brefs.
Voici tous les passages qui mettent en cause le fonctionnement de la justice dans la deuxième partie du livre :
"Vous savez, nous avons monté un peu votre affaire. L’été, c’est la saison creuse pour les journaux. Et il n’y avait que votre affaire et celle du parricide qui vaillent quelque chose."
"les débats ne dureraient pas plus de deux ou trois jours "
" la cour sera pressée parce que votre affaire n’est pas la plus importante de la session. Il y a un parricide qui passera tout de suite après."
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