Jean de La Fontaine
Thèse : Jean de La Fontaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Quentin Cste • 4 Décembre 2020 • Thèse • 969 Mots (4 Pages) • 516 Vues
COSTELLE Quentin | Jean de La Fontaine | XVII siècle |
1er1 | Année de Naissance : 1621 Année de Décès : 1695 | Mouvement littéraire et culturel : Classicisme |
1- BIOGRAPHIE
Enfance : Né fils de Charles De La Fontaine et de Françoise Pidoux le 8 Juillet 1621. Frère cadet Claude et demi-sœur Anne de Jouy. Vécu ses premières années à Château-Thierry.
Parcours de formation : Étudiant au collège de sa ville. Apprentissage du latin. Étude de droit à Paris. Il acquiert la charge de maitre particulier triennal.
Événements professionnel déterminants : Au services de Fouquet. Il commence à écrire pour lui, ou très vite il se fait repérer par Louis XIV.
Vie privée : Il devint aussi au service de la duchesse de Bouillon avec lequel il assure un anoblissement. Il poursuit c’est écrit pour divertir toutes les classes sociales qu’il fréquente.
Fin de vie : La Fontaine tombe gravement malade fin 1692 où il est atteint d’une tuberculose. Il meurt le 13 avril 1695.
2- DEUX OEUVRES
Contes et nouvelles en vers : Recueil parue à Paris en 1665-1666.
Au nombre de 243, les fables sont originalement publiées en trois tomes, en 1668, 1679 et 1694. Le premier tome est dédié au Dauphin (Louis de France, fils aîné de Louis XIV), le second à madame de Montespan (maîtresse du roi) et le troisième à nouveau à Louis de France, désormais duc de Bourgogne.
Les Fables de La Fontaine puisent leur inspiration dans diverses sources. Tout d’abord, l’Antiquité gréco-romaine, avec des auteurs comme Ésope (qui pratiquait déjà ce format et à qui l’on doit « La Cigale et la Fourmi »), Horace, Phèdre ou Tite-Live, dont les écrits ont été traduits sous forme de nouvelles fables. On trouve aussi l’influence médiévale du Roman de Renart.
Fables De La Fontaine : Parue en 1668, 1678 et 1694
Il s’agit, le plus souvent, de récits mettant en scène des animaux anthropomorphes (ayant des traits et caractéristiques humaines). Il y a toujours une morale, que ce soit en introduction ou pour conclure chaque récit. À ce sujet, La Fontaine expliquera : « je me sers d’animaux pour instruire les hommes »
Les sujets traités sont nombreux. La Fontaine tient le lecteur en éveil et le préserve de l’ennui.
- BIBLIOGRAPHIE
L’Eunuque | Adonis | Les Rieurs du Beau-Richard | Élégie aux nymphes de Vaux | Clymène |
1654 | 1669 | 1659 | 1660 | 1671 |
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