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Français : Commentaire composé du Chapitre 3 de l’ile des esclaves de Marivaux.

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Par   •  12 Avril 2021  •  Commentaire d'oeuvre  •  573 Mots (3 Pages)  •  589 Vues

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Français : Commentaire composé du Chapitre 3 de l’ile des esclaves de Marivaux.

Introduction :

L'île des esclaves est une comédie crée par Marivaux au 18ème siècle. Le dramaturge introduit dans cette dernière une inversion des rôles, où les maîtres deviennent les serviteurs, et les valets deviennent leurs supérieurs. Dans cette scène, Cléanthis, anciennement valet, doit faire le portrait de sa maîtresse. Cet extrait montre donc à la fois la coquetterie des femmes de la bourgeoisie a leurs époque et ainsi que la rancune des valets envers leur maitres. On pourra ainsi étudier le portrait d'une femme oisive et coquette, et on étudiera aussi la vengeance de Cléanthis par la caricature d’Euphrosine.

  1. Portrait d'une femme oisive et coquette.

  1. Une femme oisive.

Nous avons su par l’étude de la scène 3 du texte l’ile des esclaves que le personnage du nom d’Euphrosine est une femme oisive par rapport à son comportement, dans le texte, il est écrit « elle ira aux spectacles, aux promenades, aux assemblées ».

Cela montre bien qu’Euphrosine, ne fait que des choses qui lui fait plaisir et qui lui fait passer le temps, car d’après le texte elle ne possède pas d’emploi et donc elle cherche à passer le temps.

  1. Une femme coquette.

Euphrosine, dans le texte montre un coté assez narcissique, superficiel.

Elle crée en quelque sort un culte à son apparence.

Mais elle montre surtout que ça coquetterie est la représentation de son égoïsme, de cette préférence pour elle-même qu'est l'amour propre, comme si elle était le centre de l’univers.

On peut le voir dans cette extrait  « Madame se tait, Madame parle; elle regarde, elle est triste, elle est gaie : silence, discours, regards, tristesse et joie : c'est tout un, il n'y a que la couleur de différente; c'est vanité muette, contente ou fâchée; c'est coquetterie babillarde, jalouse ou curieuse; c'est, Madame, toujours vaine ou coquette, l'un après l'autre, ou tous les deux à la fois ».

Cette partie du texte montre bien la représentation qu’Euphrosine veut montrer à ses hôtes en changeant de personnalités pour qu’elle soit vue au mieux par le monde entier.

  1. vengeance de Cléanthis par la caricature d’Euphrosine.

Cléanthis parle de son ancienne maîtresse sans retenue et mesure. Elle parle  des défauts d'Euphrosine avec beaucoup de précision;

Elle se souvient de chaque fait très précisément, par exemple à partir de la ligne 21, où elle commence son monologue, elle décrit la scène avec beaucoup précision, comme si c’était arrive en ce moment même.

On remarque aussi qu'elle ne désigne jamais sa maîtresse par son prénom, mais seulement par "Madame" comme si c’était pour ne pas manquer de respect ou par ce qu’elle est ancré dans ca tète. Mais elle utilise aussi "je" Pour montrer qu’elle a changé de rôle.

Maintenant qu’elle est devenue maîtresse, elle cherche à se venger, et y parvient par son portrait, car Euphrosine dit à la ligne 14 du texte « Je n'y saurais tenir. ». Mais Cléantis, continue et abuse. Trivelin, dit à plusieurs reprise de continuer est donc favorable à l’abus de Cléantis envers Euphrosine.

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