Fable de la fontaine : La mort et le bûcheron (17ème siècle)

Fable de la fontaine : La mort et le bûcheron (17éme siècle)

la fontaine a l’habitude de mettre en scène des animaux anthropomorphe pour d’énoncer les meurs de son temps et de contourner la censure

On peux relever que dans cette fable La Fontaine n’utilise pas d’animaux anthropomorphe mais la présence d’un personnage : « un bûcheron » il est plutôt triste. Il est confronté a la mort représenté par une allégorie. On peux remarquer que le fable est construite sous une forme de récit et la présence d’un schéma narratif

Vers 1 a 4 : Situation initiale : fais le portrait du bûcheron et mets en avant sa vie laborieuse

Vers 5 et 6 : élément perturbateur : le bûcheron fait une introspection (il ce questionne sur sa vie)

Vers 7 a 12 : Péripéties : ici toutes les interrogation qu’il as comme un monologue intérieur

Vers 13 a 16: le dénouement : avec l’arriver de la mort qui se rais une issue

derniers Vers : situantion finale : retour a la situation initiale , le bûcheron refuse la mort et retourne a sa vie initiale plutôt laborieuse

On retrouve a la fin de cette fable la morale (ce qui prouve que nous avons bien a faire a une fable)

Jean de la fontaine voulais divertir le lecteur et le faire réfléchir . La longueur des vers de cette fable sont de longueur différentes on dit que c’est une fable hétérométrique

analyse linéaires :

vers 1 a 10 : présence d’alexandrin . Cette partie souligne la pénibilité du quotidien du bûcheron elle ce voie a travers du vers 2 avec un allitération de « f » et « s » qui donne une impression essoufflement qui et attribué au bûcheron. Vers 3 : allitération en « p » mets en avant le poids des pas fatigué du bûcheron. Vers2 a 4 : répétition du son « en » mets en avant l’épuisement de ce bûcheron . L’objectif du bûcheron ce trouve a la fin de ces vers . Cette partie la ou le bûheron et lent cotraste totalement avec l’arrivée de la mort. On peux rele ver aussi lee champs lexical de la souffrance « pauvre ,gémissant,douleur , malheur » cette souffrance et porté avec une hyperbole au vers 5 : « enfin n’en pouvant plus d’effort et de douleurs » cette hyperbole insiste sur l’état du bûcheron et le pénibilité de sont labeur et l ‘accumulation de la conjonction de coordination « et » montre l’accumulation des soucis et du travail . Dans ce début de fable nous avons la mise en avant de al souffrance du bûcheron .L’enjambement aux vers 10et 11 et le passage de l’alexandrin a l’octosyllabe renforce l’aspect pathétique

vers 15 et 16 : le bûcheron vas renoncer a la mort . L’arrivé de la mort se fait de manière assez brutale.l’octosyllabe et enjambement montre que le bûcheron ne vas pas aller jusqu’au bout

A la fin de ce texte il y une morale qui vas inviter le lecteur a avoir un réflexion sur l’Homme et sur le société dans la quelle il vit :

on peux voir que a partir du vers 14 la morale est introduite par la réponse inattendue du bûcheron face a la mort .Alors que

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