Expicit, L'Etranger, Albert Camus

                                                    Excipite etranger

Albert Camus → née 1913 Alger. Horphelin Il crée doctrine absurde. Représenté dans le roman par l’étranger. Le personnage est aussi le narrateur. A l'article de la mort, l'aumônier pénètre dans la cellule de Meursault, la conversation s'engage entre les deux hommes, les paroles de douceur et d'espoir mettent Meursault hors de lui ; la tentative de repentir Meursault échoue et ce dernier se précipite sur l'aumônier le saisit au collet et l'insulte, c'est alors que Meursault a une terrible révélation : tout homme naît pour mourir, d'une façon ou d'une autre nous sommes tous destinés à mourir.

I)M en communion avec l’univers

-M → peu bavard / colère noir sur aumönier. Déchainement de violence →vidé M d’énergie et retrouve calme. « Se jetter » → intensité colère. M → sorte de coma réparateur. Apaisement et sommeil rapproché « paix » et « endormi »

-M → nouvelle homme après someil → craint plus la mort / plus vivant que jamais → eveil des sens et de l’esprit.

- 1er sensation → étoile sur le visage → céllule disparu, plongé dans nature → contraste avec challeur solleil tout le long du roman.

- M évoque la campagne et la mer → vocabulaire mélioratif qui montre effet positif de la nature sur lui.

- Imparfait → valeur durative / paix et plénitude → dure dans le temps. La notions du présent et passé s’abolissent  → fusionne dans un instant présent infini « j’avait été heureux » / « je l’était encore »

M → sort changé de sa dispute. Il est apaisé en communions direct avec la nature qui l’entoure, plus lucide qu’il ne la jamais était

II)M réconcilié

→ Cette lucidité l’émène a repenser a sa mère. M est frappé part la similarité de leur situation → il attend la mort enfermé « la bas aussi » « et moi aussi » → il se rapproche d’elle car il ressent même impression de libération.

- M se détache du regard de la société → il est certain qu’il a eut raison de pas pleurer car elle a embrassé la vie jusqu’au bout → acceptant la mort tout comme M l’acccepte a ce moment.

- En comprenant sa mère → il appréhende sa propre situation. Cette prise de conscience → moment de plénitude et de cohésion totale avec lui même.

-M bilan de sa vie → plus que parfait « j’avait été ». Meurtre arabe rupture pass é et présent se mêlent dans cette épilogue pour formé une continuité → prise de conscience et affirmation valeur de la vie.

Si M → bilan de vie / il comprend qu’elle touche bientôt sa fin. M ne regrette rien  et accpete pleinement ce qui l’attend. Il assume ses actes et son destin.

III) Acceptation de son destin

- EN pleine communion avec la nature → sirène → son strident qui perturbe la paix et le calme. M reste détaché et indifférent. « a jamais » → rupture nette entre M et le monde → il est seul face a son destin. M embrasse alors sa différence , son étrangeté.

Conclu

On a vue chap 6 → meutre arabe , M victime des événement , un perso passif et sans contrôle sur ses actes. Cette explicit met en scène un personnage en paix avec lui même et son passé, comprit qu’il doit assumé son rôle dans le monde. Il reste cependant étranger au yeux des homme, mais plus a lui même ou le lecteur est capable de sympathiser avec M que l’approche de la mort a libérer.

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