Etude d'un incipit
Commentaire de texte : Etude d'un incipit. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tatatata • 9 Décembre 2017 • Commentaire de texte • 465 Mots (2 Pages) • 691 Vues
Eléments sur l’intrigue Amoureuse | Cadre spatiotemporel 5 sens | Pauvreté du personnage | Cadre spatiotemporel Description objective |
« mais un désir aussi le travaillait, celui d’une rencontre amoureuse. » l. 51-52 « il l’attendait depuis 3 mois » l. 54 « il attendait aussi autre chose, d’autres baisers, moins vulgaires » l. 60 « il espérait » l.56 « il attendait aussi » | « les égouts soufflaient par leurs bouches de granit leurs haleines empestées » l.41 « eaux de vaisselle et des vielles sauces » l. 44 « étalent leur public de buveurs sous la lumière éclatante et crue de leur devanture illuminée » l. 69 « envie de boire lui séchait la gorge. Une soif chaude » l. 75 « flairé leur parfum » l. 63 « il aimait les coudoyer » l.62 « grand café plein de monde »l.67 | « il lui restait juste en poche trois francs quarante pour finir le mois. » l. 14-15 « mais s’il buvait seulement deux bocks dans la soirée, adieu le maigre souper du lendemain » l. 77-78 l. 57 « la poche vide » « ne les pouvant payer » l. 59 | « jetaient à la rue […] les miasmes infâmes » l.43 « C’était une de ces soirées d’été ou l’air manque dans Paris » l. 39 « flot de foule accablé par la chaleur » l. 67 « Les grands cafés, plein de monde, débordaient sur le trottoir » l. 67 « descendre la rue de Notre-Dame-De-Lorette » l. 22-23 « Il tourna vers la Madelaine » l. 66 |
Description physique détaillé | Caractère arrogant | Cadre spatiotemporel Vie parisienne | Eléments sur l’intrigue Faire fortune | |
« beau soldat tombé dans le civil » l.31 « il portait l’uniforme des hussards » l. 24 « par pose d’ancien sous officier » l. 4 « frisa sa moustache d’un geste militaire » | « grand, bien fait, blond » l.34 / « des yeux bleus, clairs […] cheveux frisé naturellement » l.35/ « élégance tapageuse » l. 59 « joli garçon » | « l’air de toujours défier quelqu’un » l. 30 « il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens » l. 24-25 l. 84 « d’un air crâne et gaillard » l. 6-7 « regard comme des coups d’épervier | « C’était une de ces soirées d’été ou l’air manque dans Paris » l. 39 « Les concierges, en manche de chemise, à cheval, sur des chaises en paille fumaient la pipe sous des portes cochères, et les passant aillaient d’un pas accablé, le front nu, le chapeau à la main » l. 45 à 47 l. 67 « Les grands cafés plein de monde » | « en fouillant leur poche on trouverait de l’or » l. 87 « s’il avait pu en tenir un au coin d’une rue, dans l’ombre bien noire, il lui aurait tordu le cou » l. 91-92 |
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