Devoir 2 histoire première ES CNED

L’expérience combattante durant la première guerre mondiale

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    La Première Guerre Mondiale a débuté en juillet 1914 suite à l’assassinat de François-Ferdinand héritier du trône d’Autriche, à Sarajevo par un jeune Serbe, et elle se terminera le 11 novembre 1918 suite à l’Armistice qui est signée au petit matin. Cette guerre c’est divisé en trois étapes : de 1914 à 1915 c’est la guerre de mouvement, de 1915 à 1917 c’est la guerre de position ou également appelé guerre des tranchées et de fin 1917 à novembre 1918 c’est à nouveau la guerre de mouvement. Le texte qui nous est mis à disposition s’inscrit dans la période de la guerre de position. Ce texte est un extrait du roman A l’ouest, rien de nouveau de Erich Maria Remarque publier en 1929. L’auteur, E.M Remarque, est un ancien combattant allemand mobiliser en juin 1917 sur le front de l’ouest. Dès fin juillet de cette même année, E.M Remarque est blessé et est envoyé dans un hôpital à l’arrière du front. Il sera démobilisé qu’en janvier 1919.

À l’aide de ce document, nous allons montrer en quoi il permet d’éclairer l’expérience combattante des soldats dans la Première Guerre mondiale. Pour cela nous verrons premièrement, un combat sans précèdent grâce à de nouveaux moyens et deuxièmement, une vie traumatisante dans les tranchées.

    Durant cette guerre de position, les combattants ont découvert un combat bien différent que ceux connu auparavant. Notamment grâce aux nouvelles technologies qui on permis un progrès considérable dans différents domaines mais en particulier dans celui de armements. Bien que la baïonnette porte une place importante dans l’extrait de A l’ouest rien de nouveau, E.M Remarque montre que cette arme n’a plus sa place dans des combats importants comme celui de 14-18. « A vrai dire, la baïonnette a perdu de son importance » ligne 8 du document. A présent les armes utilisées sont beaucoup plus destructrices que les baïonnettes. Par exemple il existe de nouveaux canons plus performants, des nouveaux gaz comme le gaz Moutarde qui créer des brûlures chimiques sur la peau, la qualité de l’aviation augmente d’année en année ou encore des chars d’assaut plus puissants… Toutes ces nouvelles armes commettent plus de dégâts que les précédentes. A cause de cette nouvelle forme de combat, le nombre de perte humaine durant la guerre s’élève à 18.6 millions de morts donc 9.7 soldats et 8.9 civiles.

    D’une parte, les soldats on dut combattre d’autre part, ces mêmes soldats ont dû également vivre dans les tranchées.  

    Durant le temps que les soldats étaient mobilisés, ils vivaient au cœur des tranchées où la vie était très difficile. Cette difficulté était dû à plusieurs éléments : le manque de nourriture, le froid durant l’hiver et les nuits, les rats qui mangeaient les seuls vivres qui restaient, la boue… E.M Remarque indique dans son texte un autre élément qui traumatisait les troupes : le bruit. « Ce roulement qui ronge les nerfs […] notre artillerie tire continuellement, mais le roulement ne s’arrête pas, il n’a pas de fin. » ligne 18 à 20 du document.  On voit grâce a ces quelques mots la difficulté d’entendre sans cesse le bruit des canons, des fusils, des bombes, des gémissements des blessés…  Aux termes de cette guerre, les soldats sont blésés non seulement physiquement et mais également choquer psychologiquement.

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