Commentaire littéraire - les animaux malades de la peste
Commentaire de texte : Commentaire littéraire - les animaux malades de la peste. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar louise.t • 25 Avril 2021 • Commentaire de texte • 1 048 Mots (5 Pages) • 596 Vues
THERSEN Louise 12/10/2020
1D
FRANÇAIS
COMMENTAIRE LITTÉRAIRE :
Les animaux malades de la peste.
La ruse des animaux face a l’ultimatum du lion est suivie par tous, les animaux on réussi à détourner le sujet de leurs pêchers en flattant le roi de sa bonté comme au vers-37/38 « Vous leur fîtes seigneur en les croquant beaucoup d’honneur » et au vers 44-45-46 « On n’osa trop approfondir Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances les moins pardonnables offenses » les animaux suivent le chemin du renard, flatter le lion et se décrivent comme des petits saints, Cependant, tout les animaux n’avait pas compris le stratagème du renard, comme l’âne, qui lui raconta son pêcher dans les plus grand détails mettant en avant sa naïveté aux yeux de tous. « La faim,l’occasion, l’herbe tendre, et je pense quelque diable aussi me poussant, je tondis de ce pré la largeur de ma langue. » V-51-53. D’une part l’âne s’inculpe lui même, car il remet la faute sur la religion/le diable qui le manipule, d’autres part il décrit quelques uns des pêchers capitaux comme la gourmandise et de rejeter la faute sur les autres et les circonstances, c’est un moyen facile pour l’âne de ne pas assumer sa propre responsabilité, et de se dérober face à ce qui lui arrive. Et avec ce qu’il lui arrive l’âne s’enfonce en voulant être plus précis donc donne plus de détail sur son pêcher.
Il montre que l’Homme dans des moments de malheur ou autres refuse de faire face à ses responsabilité, essayant d’échapper au sentiment de culpabilité. Voilà pourquoi à la fin l’âne sert de bouc émissaire aux prédateurs, car il paie pour les autres qui non pas avoué leur pêchers et qui ce sont allié au roi, la justice dans cette fable est contestable car elle montre bien la différence dans la société de XVII siècle avec d’un côté les puissant comme les nobles, clergés et courtisans du roi... donc dans la fable le lion les autres prédateurs, et de l’autre côté les paysans, errants, domestiques, ouvriers… c’est à dire dans la fable les proies – l’âne. Cela veut dire que la justice s’allie du côté des riches noble/les prédateurs et comme la moralité le dit, « Selon que vous soyez puissant ou misérable. Les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir. »
En deuxième partie, le lion, celui qui a réussi à faire détourner toutes l’attention qu’il y avait sur lui car il avait fait bien pire pêchers que l’âne. Le lion avait « dévoré force moutons » lui aussi illustre le pêcher capital de la gourmandise, il réussi à amadouer les autres animaux en plaidant coupable directement, cependant arrive quand même a retourner la situation en sa faveur en décrédibilisant le crime et en montrant sa culpabilité au près des autres animaux, s’inclut en tant que victime de ses actions -v-27 « Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense », v-30 « Je ma dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi... » .
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