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Commentaire crépuscule du soir : Quelle image le soir donne-t-il des parisiens ?

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Par   •  14 Octobre 2019  •  Commentaire de texte  •  655 Mots (3 Pages)  •  758 Vues

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Crépuscule du soir

Quelle image le soir donne-t-il des parisiens ?

  1. Un peuple en proie à la peine
  1. Le monde du travail
  2. La souffrance

  1. Un peuple en proie au mal
  1. La prostitution
  2. Le crime

I.1        Paris est une « fourmilière ». La littérature se met à parler du travail au XIXe, c’est donc le cas ici où Paris ressemble à une véritable ruche. De façon anonyme grâce à une métonymie qui donne lieu à une prosopopée au v6 « dont les bras » et puis fait parler les bras. Montrant ainsi le travail manuel dans toute sa concrétude et le soulagement à l’idée d’achever le travail. Au v5 « Soir.. »      

Mais il a aussi les travailleurs du soir qui ont une activité incessante et bruyante avec bruits « glapir » « ronfler » de + l’allitérations en r et en s imitent très bien les ronflements et sifflements. On retrouve au v3 l’allitération en r. Paris le soir ne cesse de travailler, tout y contribue

2        si le soir assure le repos au travailleur c’est aussi le moment où d’autres souffrent. Pour qquns seulement le soir est bénéfique puisqu’ils parviennent à se libérer de la douleur métaphorisée en monstre au v8. Dès le v31, une tournure emphatique « c’set l’heure » dans laquelle la situation est dramatisée. Au v suivant la redondance « sombre nuit » exacerbe le côté obscur et hostile de la nuit. Le poète éprouve de l’empathie « c’est ‘heure… » avec la ponctuation émotive et les hyperboles métaphoriques, ici la nuit est comparée à la mort. De plus, l’hypotypose (décrire de façon très imagée) des v34-36 laissent voir un poète compatissant surtt au v36 où 3 ccirc de lieu et de tps évoquent un bonheur que ceux qui souffrent n’ont jms connu ou ne connaitront jms.

II.1        La prostitution est un univers que B connaît et qui s’éveille au crépuscule. Comme l’indique la métaphore de la lumière au v15. C’est une zctivité impoirtante et incessante, comparaisdon à une fourmilière et vbes d’actions qui ont pour sujet la P. Une autre comparaison amilière au v20 rappelle le Mal que la P véhicule, puisque par le verbe dérobe, on comprend que la P agit comme une voleuse qui vole le bien qui est dans chaque homme. La comparasion du v18 « Ainsi que.. » celle-ci souligne le caractère malfaisant et dangereux de la P. Enfin elle est omniprésente dans la ville, d’où l’adverbe partout ainsi que dans les expressions à la rime au v15 et 16. Le mal qu’elle incarne permet à B de périphraser Paris en « cité de la fange »

2        Le premier v du poème donne le ton, cynique et déroutant, il déstabilise. Dès le début le soir semble favorable aux idées les plus noires d’où la périphrase v1. + Hypotypose, on a l’impression de voir le criminel que représente Paris en action sous nos yeux. La ponctuation exacerbe cette impression. Les v2 et 3 métaphorise le soir en pièce obscure.  L’heure semble être propice pour le criminel qui est successivement en « homme impatient » puis « bête fauve ». Plus loin, ce sont maybe eux qi sont périphrasés en « démons » et puis en « gens d’affaires ». Les criminels font partie de l’activité du crime norcturne, visible dans la subordonnée circonstanciel du v25. La périphrase du vol, désignée par le mot « travail » est intéressante, elle montre cette activité qui ne cesse jms. Cesvoleurs et ces criminels ont une manière d’agir très bien ficelé, visible par la succesion des verbe. A Ttout cela le poète répond par un désir de paix intérieure que seul le soir peut lui apporter, c’est pk il s’adresse métonymiquement à son âme

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