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Commentaire Marie Darrieussecq

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Par   •  10 Octobre 2022  •  Commentaire de texte  •  1 080 Mots (5 Pages)  •  291 Vues

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      Marie Darrieussecq est née le 3 janvier 1969 à Bayonne et a grandit dans un village du Pays basque. Sa mère était professeur de français et son père était technicien. Ses parents lui ont transmis leur goût pour la lecture. Elle commence à écrire très tôt, elle écrit soit des textes courts sous la forme de monologue, soit des romans à la troisième personne qui portent davantage une attention au monde dans son ensemble, en s’attachant à un groupe de personnages issus d’un même village fictif du nom de Clèves, situé dans le Sud-Ouest de la France, probablement au Pays basque, en hommage à la Princesse de Clèves. Nous allons voir comment l’extrait de Clèves de Marie Darrieusecq lui permettra de dénoncer le manque d’informations à propos des menstruations dans la société. Ainsi nous parlerons d’un tabou que seul les femmes perçoivent puis ensuite la privation de toute réponse.

   elle va tout d’abord à plusieurs reprises indiquer un lieu plus ou moins contrénient pour les femmes par des noms l.3 «Chaises longues », l.6 « Les hôtels et les casinos », l.7 « Les cabines rouges et blanches, la bande de sable.. », l.12 « la plage », l.20 « océan », et le verbe « baigner » l.15. Ce lieu nous permet de nous contextualiser, mais également d’aborder le sujet efficacement.

          Nous pouvons relever que les sujets sont souvent féminin et non masculin, on insiste beaucoup sur la mère, sa présence est accentuéE par le déterminant « sa » l.3, l.5, l.18 montrant l’importance du personnage dû à son devoir de mère mais aussi à la fille qu’on site par le pronoms « elle » l.4, l.7, l.18, l.19, l.23, les femmes sont alors la question majeur de cet extrait de Clèves.

La présences des hommes n’est qu’éphémère, l’auteur montre une présence paternel à cette jeune fille, ligne.7 « son père » leur présence permet également d’opposer les hommes aux problèmes des femmes, paragraphe 5 et 6 le point de vue internet que met en avant l’auteur dans ces paragraphes montre les réflexions de la jeune fille et son attitude face à la menstruation. Le paragraphe 5 et 6 sont deux oppositions les hommes « sautant du muret » tandis que les femmes sont « sur la plage », il y a également une forme de similitude chez les hommes surlignés par la présence d’une énumératios les décrivants  « leur planche sous le bras », « Jambes moulées » « torse musclé » cette énumération  qu’applique l’auteur met en avant les pensées de la jeune fille, et montre une similarité chez les hommes, elle les qualifie de «  créatures » « autre espèce », « êtres inatteignables » par cela Marie Darrieussecq montre une certaine barrière entre les hommes et les femmes, dû aux problèmes que les femmes doivent faire face. Tandis que pour les femmes l’auteur questionne la jeune fille paragraphe 6 par de nombreuses interventions narratives, suivis d’interjection « ? » mettent en avant ses doutes mais oppose la similitude des hommes à la diversité des femmes l.12 « dans leurs corps si divers.

     Ces questionnements, dû à l’apparition de ces menstruations vont alors crée une apparition d’un sujet tabou, l’auteur met cela plusieurs fois en avant cet extrait, l.1 le verbe « de » poursuivit plu-tard de « De » montre le manque d’intérêt qu’on porte à la jeune fille. L’auteur éloigne la fille dans ce paragraphe et met en avant un autre sujet de conversation « De » hors l’incompréhension de la jeune fille à propos de ces règles. Cette incompréhension est aussi surlignée l.13 par une intervention narrative mais également par l’adverbe peut-être là laissant dans le déni, Marie Darrieusecq utilise plusieurs noms et procédés pour montrer le manque de connaissance de la fille, mais également que c’est un sujet tabou, l.13 « ou avec un tampon, peut-être, insiste certe sur l’incertitude mais également que le sujet est sensible puisqu’elle le dit dans ses pensées. Son manque de connaissance est visible à la l.15 par les narrations «dangereux » « il faut pas ». Toutes ces incompréhensions et ce manque de connaissance que l’auteur met en avant dans ces paragraphes montre bien que le manque de communication sur le sujet peut créer un tabou, ou bien une gêne.

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