Commentaire Linéaire "Les Animaux malades de la peste" JF
Dissertation : Commentaire Linéaire "Les Animaux malades de la peste" JF. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Hugo Dubus • 15 Mai 2020 • Dissertation • 703 Mots (3 Pages) • 791 Vues
TEXTE 1 : « Les Animaux maladent le la Peste »
Bonjour à vous, je vais vous présenter les animaux malades de la peste de Jean De La Fontaine. A présent nous allons proceder a la lecture du texte
Lecture du texte
Jean de la Fontaine est un poète fabuliste français du 16ème siècle. Il s'est inspiré et a même souvent repris les fables d'Esope, auteur grec du 6ème siècle avant Jésus Christ, pour ensuite les transposer dans le contexte actuel de son époque. C'est, à travers ses fables éditées dans douze livres parus entre 1668 et 1694, qu'il nous communique ses idées.
Pour commencer, nous allons étudier du v.44 jusqu’à la fin.
A Titre liminaire, les vers précédents parlaient du « crime » qu’à commit le lion, à savoir qu’il à mangé un berger, comme le lion représente le Roi dans la fable, il ne sera pas accusé d’avoir commis un odieux crime. Par la suite le Renard fait les louanges du Lion pour éviter d’être accusé et de mourir, ensuite nous entrons dans la partie à étudier.
Nous voyons au vers 44 que comme le Renard flatta le Lion, les autres animaux se disent qu’il n’a probablement pas commis de crime grave.
Au vers 45 Jean de LaFontaine énonce que les animaux puissants telle que le Tigre L’ours, et les « autres puissances » et au vers 46 que ces animaux puissant, ont commit des atrocités qui sont de loin les moins pardonnables.
Au vers 47 à 48, il dit que toute les personnes en quête de querelle, les « mâtins » ou autrement dit « les chiens de gardes », que chacun raconte son histoire et que à les entendre se ne sont que des « petits saints ».
Au vers 49, L’Âne raconta son histoire à son tour.
Au vers 50 à 53, l’âne dit que lorsqu’il avait vu l’herbe verdoyante dans le pré de moine il ne pu résister, il avait aussi tentation de « quelque diable », et au vers 54, l’âne est le plus sage d'entre tout les animaux car il dit qu’il n'en n’avait pas le droit tandis que les autres animaux n'assument pas leurs pêchés.
Par la suite au vers 55, les autres animaux le déclarèrent coupable du « crime » le plus horrible.
Au vers 56, un loup s’approcha et s’exprima que l’âne devait mourir, « un loup peu clerc » cela veut dire que le loup est savant, il est instruit et que il réfléchit avant de prendre cette décision, sauf que dans ce cas là, le loup n’a pas réfléchit il n’a pensé qu’a se sauver lui-même.
Au vers 58 à 60, « Ce pelé , ce galeux » désigne l’âne, « d’où venait tout le mal » exprime que c’est de l’âne que viennent tous leurs problèmes.
Au vers 59, les animaux décidèrent qu’il était coupable, sauf que manger l’herbe des moines n’est qu’une faute sans gravité. Au vers 60, ils disent « QUEL CRIME ABOMINABLE ! », pour se sauver les autres animaux, affirment qu’ils sont d’accord pour rendre coupable l’âne.
Morale : La morale de la fable "les animaux malades de la peste" se trouve à la fin de la fable :
"Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir."
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