Berthold bercht
Fiche de lecture : Berthold bercht. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zlatan67120 • 7 Février 2019 • Fiche de lecture • 442 Mots (2 Pages) • 407 Vues
Les extraits «Le portrait de Marthe », »Le portrait de Nana » datent de fin du 19ème siècle, l’extrait de «Le portrait de madame Lola » date de fin du 20ème siècle. L’auteur du premier extrait est Huysmans, l’auteur du deuxième extrait est Emile Zola et l’auteur du troisième extrait est Romain Gary. Dans la première partie, nous allons parler de la ressemblance de ces trois textes en vers les prostituées. Dans la deuxième partie, nous allons voir les effets ressentis du lecteur.
Dans le premier extrait de Huysmans, la prostitué est décrite de manière mélioratif comme à la ligne 1 : « Son grand peignoir de gaze remontait avec le mouvement des bras », l’auteur met vraiment en valeur la prostituée car il dit que le peignoir s’adapte au corps de la prostituée. Le deuxième extrait met aussi en valeur la prostituée car à la ligne 2 : « dans sa tunique blanche de déesse, ses longs cheveux blonds », cela est positif car Nana est comparé à une déesse. Dans le troisième extrait de Gary, la prostitué est décrite de manière péjoratif car à la ligne3, 4 : « Elle était tellement trapue », l’auteur décrit la prostituée de trapue, cela est négatif car il renvoie à la laideur. Ainsi, on peut constater que les auteurs Huysmans et Zola décrivent la prostituée de manière mélioratifs et que Gary décrit la prostituée de manière péjoratif. On peut donc en conclure qu’en un siècle environ les auteurs ont changés leur façon de penser.
Dans les trois extraits nous pouvons voir que le lecteur ressent un aspect comique. Dans le premier extrait de Huysmans on peut voir à la ligne 25 : « l’un de ces hommes lui fit signe. Elle ne bougeait, implorant du regard ses compagnes, mais toutes riaient et se gaussaient d’elle », on peut voir dans ce passage que Marthe débute dans ce métier et que ses compagnes riaient car elle se savait pas comment faire. Dans le second extrait, il y a aussi une forme de comique à la ligne 7 : « Son directeur la jugeait bien, elle chantait comme une seringue », dans ce passage le directeur la critique sur son champ, cela à rien avoir avec la prostitution. Dans le dernier extrait, Gary parle aussi de comique comme à la ligne 8 : « Elle portait une perruque blonde et des seins qui sont très recherchés chez les femmes », dans ce passage Lola est tellement pauvre et trapue qu’elle doit mettre une perruque pour attirer du monde. Enfin, je peux constater que ces trois auteurs ont tous utilisés le comique.
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