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Bac Blanc Francais: les pièces de théâtres dramatiques

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Par   •  9 Février 2014  •  860 Mots (4 Pages)  •  2 132 Vues

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Ce corpus comporte trois texte qui sont des extrais de pièces de théâtres dramatique.

Le premier extrait, de Victor Hugo, est intitulé Ruy Blas, acte V, scène 4 publié en 1838. Le suivant s'intitule Caligula d’Albert Camus, acte IV scène 14, publier en 1944. Le dernier extrait s'intitule Le Roi se meurt d’Eugène Ionesco, publier en 1962. Ces trois texte sont des extraits de pièces de théâtre dramatique. Dans un premier temps nous allons justifier le rapprochement de ces 3 textes, ensuite nous étudierons leur différences.

RAPPROCHEMENT :

Les trois textes présentés dans ce corpus sont très proches les uns des autres de part de nombreux points.

Cependant, ils divergent selon un certain nombre d’aspects.

D'emblée, le rapprochement de ces textes s'explique par le genre : le théatre, en effet ce sont des extraits de pièces de théâtre qui ont pour thème communs la mort. Dans chacun de ces extraits, un personnage de haut plan, un Empereur, un Roi et un premier-ministre, fait face à l’arriver de sa mort. Dans le premier texte , nous sommes au dénouement de la pièce, Ruy Blas apprend la supercherie de son maître et révèle sa vrai identité a la reine, ne supportant plus de vivre il se suicide et meurt dans les bras celle-ci. La deuxieme piece touche aussi a sa fin , et Caligula se fait assassiner âpres avoir énoncer un monologue dans lequel il s'attendait a mourir, Dans le troisième texte, le roi Béranger Ier apprend qu'il va mourir et ne parvenant pas a l'accepter, panique sous les yeux de plusieurs protagonistes, et demande de l'aide a son peuple. Les 2 premiers texte constitue le dénouement de leur piece comme en temoigne la didascalie « RIDEAU » (l35, texte 1), (l32 texte 2)

Nous pouvons voir que le texte 2 et 3 sont ecrit en prose

Nous pouvons donc voir que ces trois textes théatrals sont composés de didascalies, qui accompagnent les répliques  ce sont des indications de mise en scène qui permettent au lecteur d’envisager, de s'imaginer la présence physique des personnages : Dans Ruy Blas «  l'entourant de ses bras ; defaillant ; Il tombe ; se jetant sur son corps » ; dans Caligula : «  Des bruits d'armes et des chuchotements s'entendent en coulisse » ; et dans le roi se meurt «  On entend un faible écho dans le lointain. »

On retrouve la même intensité dramatique dans le texte d'Albert Camus et de Victor Hugo, notamment avec les exclamations « Rien ! Rien encore. Oh ! Cette nuit est lourde. » ( v16)(Caligula) et «  Dis moi ! Répond- moi ! Parle- moi ! » (v2)

Beranger ressemble à Caligula par sa tyrannie et un exercice intolérable du pouvoir suprême : dans Caligula « après avoir méprisé les autres »(v3) et dans Le Roi se meurt « dans ce royaume où tout fonctionne si mal » (v23). De plus ces deux personnages ressentent le même sentiment de peur « J’ai peur »(v23) dans le premier et « J’ai peur. Ce n’est pas possible ». Tout comme caligula : «Le vieux patricien le frappe dans le dos, Cherea en pleine figure. » (v27), Ruy Blas fait face à une mort violente

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