Au Bonheur des Dames : Commentaire

L'univers du magasin dominé par l'argent

L'importance de l'argent est extrêmement important au sein du « Bonheur des Dames » et Zola dénonce particulièrement la misère que les grands magasin peuvent faire en exploitant ses employer pour pouvoir gagné plus d'argent.

Le texte est essentiellement basé sur le gain de l'argent ou l'absence de gain.

Tout d'abord le texte nous montrer que la recherche de l'argent est comme une bataille, une guerre.

Zola passe d'abord à travers Hutin et Favier pour nous montrer la rage et la frustration vis à vis de l'argent gagné.

« Favier s'était fait quinze francs, Hutin n'avait pu arriver qu'a treize, battu ce jour-là, enragé de sa mauvaise chance. »

Zola utilise dans ce passage le champs lexical de la bataille, composé des mots « déchiqueté » ligne2 « lutte » ligne4 « battu » ligne5 « massacre d'éttofes » ou encore une oxymore « gaïté brutale »

Emile Zola insiste vraiment sur l'image que donne le « Bonheur des Dames » à la fin de la journée. L'image d'une bataille victorieuse ! « un rire victorieux » ligne10

Cette phrase caractérise bien le sentiment qu'ont les grands magasin envers leurs petit concurants. « La campagne était donc définitivement gagné, le petit commerce du quartier mis en pièce... »

Ensuite Zola attire l'attention du lecteur sur la remonter de l'argent à la caisse finale en exgagérant sur Lhomme et la manière dont il remonte l'argent et l’apporte a Mouret le chef du « Bonheur des Dames ».

Dans ce passage, Mouret est particulièrement dans ses pensée, il ne pensent qu'a agrandir son magasin pour gagner encore plus d'argent. « il voyait déjà le Bonheur des Dames grandir démesurément, élargir son hall, prolonger ses galeries jusqu'à la rue du Dix-Décembre. »

Mouret est impatient tout comme les autres de savoir la somme gagné de la journée.

Zola met en évidence la concentration qui se forme autour de Lhomme en se focalisant sur la respiration de Lhomme. « Son souffle fort s'entendait de loin, il passait, écrase et superbe, au milieu du respect des comis »

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