Allah n'est pas obligé, exposé
Dissertation : Allah n'est pas obligé, exposé. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mamadou Bah • 4 Avril 2019 • Dissertation • 4 117 Mots (17 Pages) • 7 879 Vues
[pic 1][pic 2]
[pic 3] | Centre scolaire des Dames de Marie Chaussée de Haecht, 68 Rue de la Limite, 27 1210 Saint-Josse-Ten-Noode |
Français
Présentation du livre lauréat du prix Goncourt des lycéens 2000
« Allah n’est pas Oblige, Ahmadou Kourouma »
[pic 4]
Bah Mamadou
5G
2017/2018 Mme Engels
Sommaire
Présentation du Livre…………………………………………… p.3 |
I. Situer l’auteur et son œuvre…………………………………. p.3 |
II. Analyse de l’œuvre choisie |
A. Résume de l’intrigue……………………. p.3 |
B. Personnages…………………………………. p.7 |
1. Personnage principal…………………. p.7 |
2. Personnages secondaires………………. p.7 |
C. Analyse des thèmes du livre………………… p.8 |
1. Occultisme………………………. p.8 |
2. La guerre tribale en Afrique…………. p.8 |
3. Le contexte des nations au cours des combats……… p.9 |
D. Le titre signification………………. p.10 |
E. Critique……………………. p.10 |
F. Ce livre méritait-il de recevoir le prix Goncourt des lycéens ? En quoi peut- il plaire ou non à des jeunes de mon âge ? Réponse…………………………. p.10 |
Présentation du livre
« Allah n’est pas obligé » est un roman d’Ahmadou Kourouma, il l’a sortie le 12 août 2000. Dès la sortie du livre, au cours de la même année le livre a eu un tel succès à cause de ces thèmes forts et touchant. Il gagna le prix Renaudot et le prix Goncourt lycéens en même temps. Dans les années suivantes il gagna aussi le prix America-Vespucci et le Festival international de géographie de Saint-Die-des-Vosges.
- Situer l’auteur et son œuvre
Ahmadou Kourouma était de nationalité ivoirienne, né le 24 novembre 1927 à Boundiali en Côte-d'Ivoire et est mort le 11 décembre 2003 à Lyon (France). Il a été militaire au Sénégal et est parti en France pour des études en finance et assurance. Il est revenu peu après l'indépendance mais il est emprisonné parce qu'il est contre le gouvernement de Félix Houphouet-Boigny. Il est exilé jusqu'en 1994 en Algérie, Cameroun, Togo, etc…
Il devient écrivain principalement et écrit des œuvres qui ont eu du succès en France comme “Les soleils de l'indépendance, 1968”, “En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998”, et “Allah n’est pas oblige, 2000”.
Il a plus tôt une vision sociale du monde puisque ses livres traites de sujets humanitaires et on peut dire qu’il est contre la guerre, parce qu'il nous explique les conséquences de cette guerre sur les populations. Il a une forte opinion politique et l’exprime de façon claire.
L’auteur est dans un contexte violent il est opposé au gouvernement notamment celui en Côte d'Ivoire de Félix Houphouet-Boigny. Cette opposition est née à cause des nombreuses critiques que Kourouma les infligent. Dans ces critiques il essaye de dénoncer l’injustice que subit la population et le fait que le gouvernement ne fait rien pour change cela. « Allah n’est pas obligé » a été écrit pendant cette phase de sa vie. Il a écrit l’ouvrage notamment en demande des enfants de Djibouti et pour son épouse[1]
- Analyse de l’œuvre choisie
- Résume de l’intrigue
Birahima est un jeune garçon dans ses douzaines d'années, il vit en Côte-D’ivoire avec sa mère, sa grande mère et Balla et son beau-père féticheur. Sa mère souffre d’un ulcère à cause d’une sorcière, qui s’est vengé parce qu’elle a refusée de marié son fils. Son seul remède est de coupe sa jambe mais elle refuse et s’enfouit avec Bala. Ils vont essayer de la guérir avec de la sorcellerie mais cela ne marcheras pas donc tout le monde va croire que c’est une sorcière. Birahima aura peur d’elle et va fuguer, il deviendra un enfant de la rue. Quand il reviendra sa mère sera déjà morte. Donc il devait dès lors partir sous la garde de sa tante qui habitait au Liberia. Comme c'était un enfant il avait besoin d’un accompagnateur, un féticheur musulman. À son départ sa grand-mère était triste mais lui était heureux de devenir un enfant-soldats.
En cours de route ils sont arrêtés et par des enfants-soldats du Front National patriotique de Liberia (NPLF). Birahima et Yacouba sont d’abord prisonniers mais sont ensuite relâcher grâce au talent de sorcier du grigriman Yacouba. Birahima devient alors enfant-soldats, il se fera un ami, Tête brûlée. Celui-ci lui parla tout le temps du l’ULIMO l’organisation de laquelle il venait. Et cela donna envie a Birahima de rejoindre cette organisation. Quelques jours après Il est emprisonné pour avoir violée une fille de 8 ans. Peu après le colonel papa le bon du NPFL meurt, donc son camp se dissout. Tête brûlée libre les mène vers l’ULIMO.
Arrivé à l’ULIMO (le mouvement uni de libération pour le Liberia) ils sont accueillis par le général Doe comme prisonniers, mais sous les menaces de Yacouba ils les relâchèrent et leur donna du travail. Redevenue enfant-soldats il entretient une relation forcée avec le commandant de l'armée des enfants, Rita Baclay, Sœur de Doe. Une nuit ils sont attaque par des bandits de Niangbo et fuient. Les enfant-soldats y arrivent deux jours après ils s’attaquent le village mais ils s'étaient prépare, donc ont repoussé les enfants-soldats. Mais lorsque tête brûlée s’empare du pouvoir ils parviennent à libérer le village. Dans le village ils s'aperçoivent Sekou, celui-là leur dit que la tante leur dit que Mahan habité la mais que son mari a été tue donc elle a fui, son mari a été assassiné par des Krahns qui ne veulent pas des malinke au Liberia. Ils vont continuer leur quête de trouver la tante Mahan de Birahima. Ils vont vers le sud.
Lorsqu'ils sont arrivés chez ULIMO à Sanniquellie qui est contrôlé par le dictateur Doe, ils doivent offrir leurs armes et ils sont interpellés. Mais comme Yacouba se plaint, on offre du boulot à lui et à Birahima. Le chef de la troupe des enfants, Rita Baclay (la sœur jumelle du dictateur), affectionne Birahima et ils ont une odysée. Rita est excitée, mais cette relation ne lui plaît que nenni. Pour ce dernier, c'est une liaison contrainte. Une nuit, des bandits pillent le camp, prennent deux officiers et fuient vers Niangbo. Suite à 48 heures de séjour, les enfants-soldats débarquent de même à Niangbo. Ils attaquent Niangbo, cependant les citoyens du hameau se défendent vaillamment. On veut de nombreux décédés. L'ensemble de ces assauts ne servent à rien le temps que Chevelure brûlée s'empare de la politique. Et il y réussit. Les bandits s'enfuient dans la forêt et Chevelure brûlée et son régiment libèrent les administrés. Soudain, Birahima et Yacouba admettent un ami : Sekou. Il leur dit que la tante Mahan avait vécu dans ce hameau. Mais dans sa case, on trouve uniquement son époux décédé. Il a été tué par des Krahns qui ne souhaitent pas de Malinkés au Liberia. La tante, elle a fui, une semaine plus tôt. On n'a plus aucune réussite de la reconquérir. Birahima et Yacouba vont vers le sud pour chercher la tante. Ils n'ont que leurs kalachs. Les autres vont vers le nord pour récupérer des fractions de l'ULIMO. Durant les assauts à Niangbo, le NPFL a affronté Sanniquellie et il a dorénavant conquis la commune.
Ensuite s'être séparés de Sekou, Birahima et Yacouba débarquent à l'intérieur d'un camp de roi Johnson, le troisième bandit du royaume, à Monrovia. Birahima et Yacouba sont immédiatement enfermés. Suite à sept jours, on regarde avec soutien des grigris s‘ils sont des sorciers. Mais comme ils ne sont pas de sorciers, on leur offre du boulot. À midi, un officier de l'ECOMOG se dévoile et il dit que Doe exige avoir une discussion avec Johnson. Johnson va avec son régiment d'gamins chez Doe et l’assassine très brusquement. Ensuite son trépas, on le jette aux animaux de la race canine. D’autres (des enfants-soldats et les gardes) sont tués autant. Comme les enfants-soldats et les travailleurs de Johnson qui vivent dans la pauvreté sont mécontents des conditions épouvantables, Johnson agression une localité aurifère tenu de l'ULIMO. Mais il n'a pas beaucoup de réussite. Suite au fiasco, il retourne à Monrovia avec son régiment d'enfants, où l'ensemble est pulvérisé et cambriolé. Seule l'organisation catholique de Marie-Béatrice qui s'occupe des personnes souffrantes d'un handicap et des estropiés n'étaient pas pulvérisée. Johnson souhaite s'approprier cette institution mais Marie-Béatrice ne l’exige pas. Johnson débute avec son régiment d'enfants à combattre Marie-Béatrice. Mais comme elle est informée, elle est opérationnelle et les assauts de Johnson et son régiment d'enfants avortent. Suite au bombardement destructeur, Johnson a l'organisation. Il propose un nouveau envoie de travail à Marie-Béatrice dans le régiment mais elle ne souhaite pas car elle est sainte. Alors la connectique de l'organisation n'est pas parvenue à corriger le souci des ressources : dorénavant il doit subvenir aux besoins la sainte et ses enfants autant. Johnson doit chercher une nouvelle solution. Tel qu'il sait que la nation est partagée en deux parties (une partie pour Doe et l'autre partie pour Taylor) et que l'entreprise américaine les paye, Johnson souhaite que la nation soit partagé en trois parties. Finalement, il kidnappe deux blancs. Le soir, d'autres blancs proviennent pour parler et après son excursion du côté du directeur, Johnson réceptionne la défense de la plantation. Il est ravi. Mais six jours après, tout le Liberia sait que Johnson a un accord mystère avec le directeur de la plantation. Maintenant les autres désirent de même des parties du royaume et démarrent à benner des obus. Birahima et Yacouba abordent encore Sekou et il leur dit que la tante Mahan est partie en Sierra Leone. Birahima et Yacouba y vont aussi pour chercher la tante.
15 jours suites au 15/04/95, Birahima et Yacouba débarquent à l'endroit occupé par Foday Sankoh en Sierra Leone. Ils sont immédiatement pris par le RUF à Mile-Thirty-Eight. Tieffi, le directeur en ce temps, souhaite couper leurs mains pour qu’ils ne soient en mesure de plus déposer son bulletin dans l'urne. Mais au moment où il observe que ce sont des Malinkés, il ne le fait pas. Il leur offre du boulot néanmoins. Dans la nuit, les Kamajors ont affronté le camp et vers 12 heures, ils découpent les voies rapides et occupent les structures. L'ensemble des chefs du camp ont fui. On se situe à votre place face aux Kamajors. Après la connectique du demeure, Birahima et Yacouba sont interpellés. Durant les jours suites à, il y a multiples assauts avec de décédés. La position n'est pas très sympa et par conséquent Tieffi convoque une assemblée. Il invite la sœur Hadja Gabrielle Aminata qui s'occupe des poulettes et ses collègues pour parler le souci des assauts. Une nuit, une fille est violée. Avec support d'un évident machin, Aminata trouve l'accusé et elle le fait dire. Les autres se révoltent et attaquent son camp. Après trois jours de protection, elle perd la vie. Le temps en pénitencier des Kamajors est très mauvais. On n'a rien à nourrir. Birahima et Yacouba démarrent à hurler et finalement, ils sont libérés. Après le putsch (25/05/97), Yacouba et Birahima ont des postes dans l'armée de Johnny Koroma, le directeur à cet instant. L'armée s'oriente petit à petit vers l'ouest de la Sierra Leone. Durant ce départ, Yacouba et Birahima retrouvent Sekou. Il leur dit que la tante se situe à l'est dans l'enclave d'El Hadji Koroma et qu'il est nécessaire de la secourir. Donc ils s'enfuient de l'armée et suite à quatre jours de départ, ils abordent Saydon, le cousin, qui cherche la tante autant. On lui a fait la promesse des ronds. Après trois jours, on vient au camp qui est à proximité de la frontière ivoirienne. Ils sont immédiatement acceptés et bien incorporés dans l'armée. Ils y demeurent pour un trimestre. Après, ils remarquent que la tante a la malaria. Le quatrième jour, elle s'éteint. Comme Yacouba et les autres ne souhaitent plus travailler pour les ONG, ils vont au baraquement de la tante où ils trouvent ses derniers mots pour Birahima. On démarre à pleurer (Saydou pleure uniquement parce qu'il ne réceptionne plus les deniers qu'on lui a fait la promesse) et à prier. Après, Mamadou (le toubib et vieil ami de Saydou qui n'apprécie pas trop Mamadou), le pilote, Yacouba, Sekou et Birahima partent pour courir des nouvelles plans d'identité. Birahima relate toute l'histoire à Mamadou.[2]
...