A UNE PASSANTE

Charles Beaudelaire, [pic 1]

A une passante

- Charles Baudelaire est un auteur du XIXe Siècle, (1821-1867) il est surtout connu pour son recueil de poèmes "Les fleurs du Mal".

Baudelaire a écrit quelques critiques d'art mais ses oeuvres les plus importantes sont:

Les fleurs du mal (1857) et Petits poème en prose (1869) sans oublier les Paradis artificiels (1860) et le spleen de Paris publiée en 1846-1859.

Il est née a Paris le 9 Avril 1821 et il est mort a 46 ans le 31 Août 1867 a Paris.

-A une passante est un sonnet qui appartient aux tableaux parisiens, il est donc lié à l'inspiration de la vie. L'univers urbain offre à Baudelaire des sujets de description, de narration, de réflexion. Mais le poète ne reste pas extérieur au spectacle de la rue. Il y participe à la recherche de rencontres décisives en quête de symboles qui font de ces spectacles et de ces rencontres les reflets d'un monde complexe, celui de la condition humaine, celui de sa propre vie. En ce sens, chaque rencontre est importante.
Le sonnet est construit sur un thème romanesque, celui de la rencontre. Mais il est traité dans une tonalité typiquement baudelairienne. On trouve l'éblouissement de l'attirance féminine, la recherche d'une nouvelle espérance pleinement heureuse et l'échec d'une relation qui laisse le poète désemparé.

- Au cours de sa vie, il a appartenu au mouvement Symbolisme et à la modernité poètique, son genre était la poésie, les poèmes en prose et la critique d'art.

-Synecdoque: Métonymie particulière pour laquelle la relation entre les termes constitue une inclussion 

Réf premier Mois: Le mois est une unité de temps dans les calendriers, soit une division de l'année

Chiasme: Est une figure de construction qui dispose les termes de manière croisée soit AB/BA

Bivalent: Qui a deux fonctions, deux usages.

Hémistiche: L'hémistiche est la moitié d'un vers.

Problématique: Dans quel mesure ce poême reprend t-il l'opposition Baudelairienne entre le Spleen et l'idéal?

1) La rencontre

     a) Présenter sous forme d'un récit

     b) Un choc émotionnel

2) Le triomphe du Spleen

        1) La rencontre

*Cadre de la rencontre "La rue" (v.1)

*synecdoque niv sonore, insupportable, apparaît une figure évoquant une identité "Paris cette scène évoque le bruit" (v.1) --> c'est une personnification

* Allitération (= consonne) en "R"

* Décors traumatissant pour B, qui se sent écrasé par cette ville (v.6) mise en relief du "Moi" qui fait écho et référence au premier Mois.

* Cadre hostille, peu propice a qqch d'heureux, 2 personnes séparés par l'énonciation

(v.5): "Agile & Noble"; (v.11): "Ne te reverrai-je plus?"; Le (v.13): présente une opposition par une forme de Kiasme . Pas de "Nous" mais des pronoms personnel "Je & Tu"

*Les verbes peuvent signifier l'absence, le manque de communication

"J'ignore ou tu fuis ?" - But ! Sentiment; "Je ne sais ou je vois ?"- Adverbe "ou" incertitude

*Etat renforcé au derniers vers: Regrets, ce parrallelisme renferme la douleur. B rejette son malheur sur la passante. Cette armistichs, renvoie l'illusion que fait B à cette femme a cette rencontre qui n'est ni plus ni moins celle du Spleen et de l'Idéal.

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