Si c’est un homme de Primo Levi / Hobbs

Si c’est un homme est un homme de Primo Levi est un livre réalisé en 1947. Ce récit raconte le témoignage d’un homme qui a vecu l’experience des camp d’extermination.

Concernant la conception de Hobbs, il disait que l’état naturelle de l’homme est un état de guerre, c’est une compétition constante pour les ressources et qu’ils ont tendance à être égoïste ce qui les poussent a se détruisent entre eux. D’après Hobbs les hommes sont des sauvages, il n’y a pas de place pour ceux qui sont faibles. Les plus faibles on rarement ce qu’il désir contrairement au plus fort. L’état de nature est pour Hobbs un état de guerre de chacun contre chacun. De plus, il mentionne que l’homme est libre d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour assurer la conservation de son état naturelle. La théorie de Hobbs est tout de même contradictoire car la théorie dit que chaque homme doit luttez pour leur survie mais pour cela ils doivent mettre en danger la vie de tous. D’après Hobbs, l’homme se met en danger lui-même, car ils on souvent en compétition et cherchent à surpasser les autres et même se surpasser eux même ce qui peut être dangereux non seulement pour lui mais pour les autres.

Deuxièmement, le livre décrit très bien l’états dans laquelle les prisonniers se retrouvent et ce qui fait drôlement référence à la théorie de Hobbes concernant l’état de nature de l’homme. Par exemple, dans le chapitre 16 lors de la pendaison d’un des prisonniers, Primo ne ressent ni tristesse ni deuil, pourtant l’homme qui est mort sous ses yeux a été pris par erreur à la place de Primo. Ce contexte ressemble beaucoup à l’était de nature que décrit Hobbes. Hobbes dit que la mort d’un autre devient alors une chance car sans cet homme Primo aurai pu être pendu et donner la chance à un autre de survivre. D’après Hobbes les hommes sont égoïstes dans un sens, il se battent pour eux seul et personne d’autre. Dans le récit, Primo doit effectivement se battre pour sa propre survie dans ce soucie de celle des autres et tant pis pour les plus faible. Certaines caractéristiques de l’humaine se décrit comme touché par la souffrance, la mort d’une autre et c’est ce qui se traduit par de la pitié et malheureusement tel que Hobbes le mentionne et que le récit le prouve grâce au témoignage de Primo, le camp n’était pas un endroit pour avoir pitié des autres. La plus grosse ressemble entre l’état de nature et l’état des prisonniers c’est que toutes les valeurs morales ont été inverse, par exemple l’homme qui a utilisé sa ruse et tous les moyens pour se défendre est celui que l’on admire le plus. De plus, les soldats n’interviennent presque plus dans les évènements, ce sont plutôt les autres prisonniers qui commettent des agressions par but d’obtenir un certain prestige ou même repousser la mort de ceux-ci.

En conclusion, je crois personnellement que les faits racontés dans le livre autobiographique de Primo Levi se rapproche davantage sur la théorie de l’état de nature de Hobbes que la théorie sur l’état de société de Rousseau. Grâce aux ressemblances prouver lors de la rédaction de mon texte ainsi que l’explication de la théorie de Hobbes concernant l’état de nature de l’homme, mon opinion est davantage plus claire, si c’est

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