Philosophie (HLP)

Philosophie (HLP)

comment être humain : par l’éducation (car on ne nait pas ÊH on le devient)

→ pas d’éducation=enfant sauvage

l’ÊH est néotènes = être de relations (si elles diffèrent nous deviendront autre)

                         tout ce qu’on est on le doit aux autres

je ne suis pas bon en maths car on m’a dit que je n’était pas bon donc inconsciemment j’y crois

La recherche de soi

(présupposés= 1. Il y a quelque chose un « soi » qu’il nous faut découvrir (introspection)

2. Puisqu’on le recherche ça serait une quête et potentiellement difficile)

I. Pt de vu historique

Ds antiquité =conscience sans y prêter attention (ne se définissaient pas par sois même mais par elemts ext.)

Les grecs n’avaient pas de mot pour conscience car son étymologie voulait simplement dire avec connaissance ou accompagné de. Pendant longtemps la société traditionnelle n’était pas formé d’individus mais d’une ou plusieurs communautés : ≠ « je m’appelle... »

                         =  « je suis fils de… »

Puis émergence progressive d’individus dans communauté grec antique

« je pense donc je suis » Descartes → révolution idéologique

Les êh commence à penser à époque contemporaine

« connais toi toi-m » inscription du temple d’Apollon (Delphes) puis reprise par Socrate

→ grecques ne distinguent ni ne sépare l’âme et le corps, contrairement à l’époque moderne où ils sont séparés et mettent en place un hylémorphisme (idée que corps est marionnette de l’âme/esprit) mais c’est faux

        Détachement progressif entre individu et communauté, même si l’individu y reste attaché

Introspection dans la religion : les fidèles (fides=la foi), les créatures de Dieu se servaient de l’introspection se demander si ils faisaient comme Dieu le voulait, s’ils n’avaient pas pêché. St Augustin considère le coeur comme le lien entre Dieu et l’êh, qu’on naît avec un coeur pur puis assombrit par les pêchés et devons le restaurer avec la confession et repentance.

→ l’individu s’habitue à l’introspection et prend peu à peu conscience de lui en tant que sujet

Êh ne naît pas tout fait, il devient lui même en passant par autrui uniquement. De plus nous ne pouvons pas ne pas être fait par l’éducation, elle nous permet d’être nous même. Le plaisir, lui, est un piège car il est conservateur (=on cherche ce qu’on connaît déjà, ce qui nous rassure et/ou qu’on aime)

→ Il y aurait une fin à la découverte de soi si le « soi » était donné, le risque est de se définir comme on pourrait définir une chose = limité. La libération du soi est donc une quête complexe puisque nous n’avons pas le contrôle.

Dans le texte de Kant, l’êh enfant n’avait pas cs de sois, preuve en est qu’il se définissait à la troisième personne et par son prénom lorsqu’il parlait de lui. C’est plus tard qu’il prend conscience d’être sujet et utilise le Je. Il avait cs sans y prêter attention et mtn il est.

Cpdt tu ne peux pas te dire « j’écoute » quand tu le fais car ta cs est déjà prise par cette écoute

on ne peut pas à la fois avoir cs et être cs qu’on a cs

utilisation de je=pouvoir se représenter sois m comme source de pensées et agissements

La question de l’éducation

son problème fondamentale réside dans la contrainte mais c’est cette contrainte qui libère car elle permet découverte du sois (oxymore)

Dieu aurait créé toute chose en matière ou esprit + l’hétérogénéité de ces deux substance=l’EH, composé de matière et d’esprit

on se pense sujet et doutons car lorsque nous doutons nous sommes accompagné de l’absolu certitude d’ê, que je suis (autant que je pense)

penser permet de construire l’eh en tant que sujet

Littérature (HLP)

La recherche de soi

(1. si il y a recherche il y a un manque à combler, donc une frustration

2. l’êh est un individu à part entière mais qui souhaite connaître son soi=appropriation d’identité)

construction de sois : L’égo est une fausse personnalité, il est vital mais envahissant, omniprésent, hors de contrôle et camoufle la vrai personnalité. L’introspection lutte contre lui comme un voyage intérieur pour faire ressortir le vrai soi. L’égo ne supporte pas la déssolidarisation de son existence. De nombreux écrivains tels que Proust, Montaigne ou Rousseau se sont penché dessus.

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