Profil de Voltaire

                                              Profil de VOLTAIRE

Ma vie

Je suis né en 1694, sous le règne de Louis XIV. On me surnomme le plus souvent sous le pseudonyme de « Voltaire » mais mon vrai nom reste le même soit « François-Marie Arouet ». Je suis le dernier fils d’un notaire où je grandis dans une famille bourgeoise aisée. De 1704 à 1711, je poursuivis des études plutôt brillante s au collège « Louis le Grand » étant un prestigieux établissement tenu par des jésuites de lequel j’y apprend la rhétorique à la versification en français. Pendant ce temps, je tisse des liens d’amitié avec des enfants de la haute aristocratie. A ma sortie du collège, je me conforme à la tradition familiale en commençant des études de droit. Mais malgré cela, les relations que j’entretenait avec mon père finir très vite à se dégrader. Je m’introduis alors avec mon parrain « abbé de Châteauneuf » dans le cercle libertin du Temple où il m’y fait l’apprentissage de la galanterie et des plaisirs mondains. Subséquent les évènements, je suis apprécié dans les salons et à la cour et d’ailleurs Louis XV me comble de faveurs. D’une certaine façon, l’exil m’a permis de me transformer pour passer d’un poète mondain à un philosophe. De 1726 à 1728, J’apprends l’anglais, je fréquente des savants, des gens de lettres, je découvre la monarchie constitutionnelle, la tolérance et la littérature anglaise. De retour en France, je pris la responsabilité de m’enrichir dans des opérations financières pour que comme ça je n’ai plus jamais besoins de mécène de sorte que ces placements, m’assure une indépendance confortable.        

Mes défis

Après avoir était placé chez un procureur, je m’ennuyais au fur et à mesure, je fréquentais les gens du monde et commençais à me lancer dans la littérature notamment dans la poésie satirique. Mais lorsque je m’y prends au régent Philippe d’Orléans, je me retrouve exilé à Sully-sur-Loire en 1716 puis embastillé en 1717. A la suite d’une querelle avec le chevalier de Rohan en 1726, juste par rapport à mon insolence je suis à nouveau en prison qui se suit par l’exil en Angleterre.  

Mes amis

Mes ennemis

Mes œuvres

Durant mon séjour à la Bastille, j’écris la tragédie « Œdipe » qui me vaudra, en 1718 un grand succès à la comédie française. Entre 1720 et 1725, je connus une période d’activité littéraire intense où je compose en 1723, une épopée « La Ligue ». L’exil m’a aussi permis de formais le projet des Lettres philosophiques ou lettres anglaise où j’exalte du modèle libéral et critique l’absolutisme. Avec mon retour en France, j’écrivis des tragédies comme «  Brutus, Zaïre, La Mort de César, ect. »,un essai de critique littéraire « Le temple du Gout » mais aussi une œuvre historique «  Histoire de Charles XII ».

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