L’esprit de 1848

1848 c’est l’espoir d’une république universelle, démocratique et sociale. Les mesures attendues sont radicales : suffrage universel masculin, ateliers nationaux pour occuper les chômeurs, abolition de l’esclavage… Ces documents nous présentent des visions très differentes de la révolution de février. Le document 1, intitulé “L’esprit de 1848” est un extrait issu de Histoire de la révolution de 1848, un livre écrit par Alphonse de Lamartine en 1860. Ce texte expose la révolution comme quelque chose de réussi, c’est une vision donc plutôt positive des évènements. Cependant le document 2, intitulé “Le désenchantement”, qui est un extrait de la lettre de George Sand destinée à Hortense Allart de Méritens, écrite le 10 juin 1848 nous expose une vision différente de la situation, une vision négative. En effet, George Sand présente la révolution comme quelque chose d’échoué. D’abord, nous allons étudier l’espoir suscité par la révolution, dans un deuxième temps nous regarederons la vision de Lamartine et enfin la vision de Georege Sand.

Tout d’abord, la révolution de 1848 a permis aux gouvernements de regagner la confiance et l’aide du peuple français. Cette confiance du peuple est arrivé lorsque le gouvernement a décidé d’arrêter les violences subit par le peuple, de les proteger, de proclamer la République rt de faire disparaitre tout les signes des anciens régimes. Mais certaines personnes comme George Sand on eu un faux espoir car elle pensait que le mal de la France venait de l’inégalité et elle pensiat que ç allait changer. La france et les français sont donc partagés par leurs opignons différentes.

Ensuite, Alphone de Lamartine reste dans une vision assez positive de ces événements tels qie la fête de la Concorde que Lamartine cite. En plus Lamartine copare la révolution à une fête. Il parle des scènes dramatiques de l’hôtel de ville comme de quelque chose qui a rendu la France plus puissante avec des récits répandus et exagérés. On peut absolument remarquer que Lamartine a une vision ambitieuse du peuple français qui est devenu selon lui plus fort.

Contrairement à lui, on peut remarque que dans la lettre de George Sand, la femme était sévérement déçue de la révolution car elle est pour l’égalité

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