La place de Facebook

Plus sérieusement, sans Facebook les relations seraient beaucoup plus simples, sûrement moins nombreuses mais plus sincères et plus saines. En effet, l'argument qui revient souvent en faveur de Facebook est qu'il permet de rester en contact avec ses amis ; mais selon vous liker de temps en temps une photo ou souhaiter son anniversaire à quelqu'un quand Facebook nous le rappelle, est ce que l'on peut appeler de l'amitié ?

De plus nous cesserions de fantasmer sur la vie des autres ; à force de se comparer nous n'avons plus aucune estime de nous même ou des gens qui nous entoure. Nous arrêterions aussi de moduler notre vie selon comment nous souhaitons qu'elle soit ou comment nous voulons que les autres la voient.

Cependant nous ne pouvons pas enlever à Facebook quelques avantages. Ce réseaux social permet de créer des mouvement sociaux, politiques, etc en très peu de temps : the digitally flueded activism. Par exemple, in one month, Oscar Morales's mouvement, past to one hundred to ten millions and many importants cities are mobilised against FARC. Ou encore le mouvement « Balance ton porc » qui a permis à des millions de femmes de s'exprimer sur les violences ou le harcèlement sexuels qu'elles ont vécu.

Nous devons nous rendre à l'évidence, il serait compliqué de rayer Facebook de nos vie, il prend tellement de place, supporterions nous ce manque ? Prenons exemple sur une expérience faites sur les students at Portland's Lincoln High School, ils avaient comme challenge de ne pas utiliser leur téléphone pendant quatre jours. Certains étudiants se sont sentis très seuls et ont mal vécus cette expérience, d'autres n'ont même pas réussi le challenge et ont récupérer leur téléphone avant la fin. L'expérience a permis aux utilisateurs du smartphone de se rendre compte de notre dépendance à la technology.

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