Compte rendu d'un article

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Cet article extrait du site Internet SecurEnvoy.com daté du 16 février 2012 trait à l’addiction au téléphone portable.

Suite à une étude effectuée en 2008 auprès de la population de Royaume – Uni, la nomophobie subit une nette augmentation et les jeunes sont les plus touchés. Une autre étude révèle que la moitié des interrogés ont deux téléphones portables ou plus, ce sont plutôt les hommes, qui n’ont pas peur d’être laissé sans une de leurs devises contrairement aux femmes, ce qui est expliqué par la besoin d’être en mesure de contacter leurs enfants.

D’après la même étude, les utilisateurs regardent leurs écrans 34 fois par jour ainsi que dans le cas de la perte, on découvrira cela rapidement, de plus, si on a une protection du téléphone portable, on rien à peur. Pourtant, comme l’étude montre, ce n’est que la moitié des gens qui sécurisent leurs téléphones portables. A cet égard, on constate une tendance inquiétante à tel point, que le gouvernement local et le secteur privé incitent leurs employés à mieux sécuriser leurs appareils téléphoniques.

En conclusion, l’étude souligne, que les gens comptent énormément sur leurs devises, mais si on néglige la sécurité, cela ne mènera à rien de bon.  

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Pour commencer, l'auteur affirme que de nombreux étudiants se permettent de prendre une année académique avant d'aller à l'université. En fait, cette tendance est tout à fait commune, cependant, a ses conséquences, selon DE qui a mené une étude, dont les résultats indiquent que ceux qui sont allés à l'université juste après le lycée, gagnent plus.

Néanmoins, à partir de l'auteur, le bénéfice d'une telle année dépend d'un bon plan, c'est-à-dire d'actions qui favorisent le développement personnel. D'un côté, cela peut être du travail, du voyage ou de la charité, et de l'autre, comme le dit Andrew Carter, c'est une expérience indispensable dans un large éventail de domaines, de l'enrichissement culturel aux compétences de communication. La liste qui peut remplir ce temps est assez large, mais ce qui est le plus important, c'est que cela vous donne l'occasion de penser à votre avenir, de mieux vous connaître et de devenir un peu plus responsable. Il convient de noter que le choix hâtif de nombreux étudiants qui ont choisi la mauvaise profession est une conséquence de l'absence de temps de réflexion et d'examen de la question sous différents angles, donc ceux qui ont eu une année universitaire ont eu plus de chance.

En conclusion, l'auteur montre la vision de la situation en termes d'expérience Emily, qui met l'accent sur les avantages au cours de leur année scolaire, ce qui l'a aidée à se préparer à la vie dans un Université et note des différences de cette expérience de celle des gens qui n'ont pas eu l'année académique.

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