Thorster Advertainement
Étude de cas : Thorster Advertainement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Laurianem • 12 Mars 2018 • Étude de cas • 1 145 Mots (5 Pages) • 589 Vues
Réflexion
1. Une revue de presse à un intérêt d’un point de vue de la communication au sein de l’entreprise : elle permet d’informer les salariés des opérations de l’entreprise ayant eu un retentissement médiatique, de les sensibiliser à l’ensemble de l’activité de l’entreprise.
Mais elle peut permettre également de réaliser un gain de temps pour les destinataires : les articles sont présélectionnés. Elle permet aussi de réaliser un gain budgétaire, car celle-ci permet de réduire le nombre d’abonnements aux revues et journaux.
2. L’assistante jouant un rôle central dans la gestion de l’information de par sa fonction d’interface et de sa tâche de veille informationnelle, contribue à l’élaboration de la revue de presse. Pour cela, elle lit les quotidiens et sélectionne les articles qui sont susceptibles d’intéresser les collaborateurs à qui la revue de presse est destinée. Elle jouera également un rôle dans la présentation de la revue, et s’assurera de sa diffusion périodique au personnel concerné.
3. Les contraintes propres à la réalisation d’une revue de presse sont essentiellement de nature juridiques :
- Obligation d’avoir une autorisation pour reproduire par reprographie des articles de presse
- Les revues de presse sont taxées afin de lutter contre le « photocopillage ».
- Déclaration au CFC.
- Versement d’une redevance au CFC, qui est ensuite reversée aux auteurs et éditeurs des œuvres.
Cependant, il y a aussi des contraintes de temps (périodicité), de coûts (droits d’auteurs et de reproduction, redevance…), de qualité (les articles doivent être ciblés et pertinents), et humaines (il faut parfois plus d’une personne pour lire la presse).
Mise en œuvre
1) Se documenter
a) Le Centre Français d’exploitation du droit de Copie (CFC) est un organisme qui gère collectivement, pour le compte des auteurs et des éditeurs, des droits de copie papier et numériques du livre et de la presse. Le CFC est l’unique société qui peut délivrer des autorisations de reproductions pour la photocopie de la presse et du livre en France. Le CFC a également été désigné par les éditeurs de presse pour répartir la part de redevance qui leur revient, au titre de l’enregistrement de copies privées d’articles de presse. Le CFC a également pour rôle d’utiliser une partie des redevances qu’il reçoit afin de financer des actions d’aide à la création et à la diffusion des œuvres.
b) La copie ou l’utilisation d’un article (ou d’un texte) est soumis au respect de plusieurs points juridiques :
- le respect du droit moral : il protège l’auteur en lui permettant de voir son nom indiqué sur toute reproduction ou représentation de son œuvre, de rester maître de sa divulgation et de faire respecter son intégrité.
- le respect du droit patrimonial : il permet à l’auteur de maîtriser, c’est-à-dire d’autoriser ou d’interdire, l’exploitation de son œuvre, dans le cadre de ses représentations et de ses reproductions et lui permet d’en retirer une rémunération.
- la gestion collective obligatoire du droit de reproduction par reprographie : la reproduction et la diffusion de pages de livres ou d’articles de presses effectuée sans autorisation préalable constitue un délit, au même titre que toute autre forme de reproduction de création originale. Le CFC constitue l’unique société habilitée à délivrer des autorisations de reproduction par reprographie d’œuvres protégées pour le livre et la presse, en France.
- la gestion collective volontaire du droit de reproduction numérique : la reproduction et la diffusion numérique de pages de livres ou d’articles de presses effectuée sans autorisation préalable constitue un délit. Toute organisation doit bénéficier de l’autorisation du CFC pour reproduire et rediffuser sous format numérique (notamment sur des réseaux internes) des extraits de publications dont les droits lui ont été confiés.
Il y a également certains
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