La ferme des animaux
Synthèse : La ferme des animaux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lilo1326 • 19 Janvier 2020 • Synthèse • 711 Mots (3 Pages) • 733 Vues
SQ1 SÉANCE 6 : Extrait(s) de comédie musicale sur fond urbain
- Singin’ in the rain (1952) : chanson titre
la chanson : Singin' in the Rain est une chanson écrite par Arthur Freed et composée par Nacio Herb Brown, publiée en 1929. C’est un homme dansant sous la pluie devant la vitrine de son magasin de partitions qui aurait inspiré Arthur Freed pour l’écriture des paroles.[pic 1]
De nos jours, on la connaît surtout comme le thème du film Chantons sous la pluie (1952), dans lequel l'acteur Gene Kelly danse au son de la chanson tout en sautant dans des flaques sous une pluie battante.
La chanson apparaît également lors de la séquence d'ouverture du film, ainsi que dans une scène vers la fin du film.
une comédie musicale sur fond urbain : la séquence d’ouverture
https://youtu.be/w40ushYAaYA
Présentation :
Chantons sous la pluie (Singin' in the Rain) est un film musical américain de Stanley Donen et Gene Kelly, sorti en 1952. Il dépeint joyeusement le Hollywood des années 1920 et la transition du film muet au film parlant à travers le parcours de trois artistes interprétés par Gene Kelly, Debbie Reynolds et Donald O'Connor.
Le film connait un succès modeste à sa sortie. Donald O'Connor remporte le prix du meilleur acteur aux Golden Globes et les deux scénaristes Betty Comden et Adolph Green un prix aux Writers Guild of America Awards.
Ce n'est que plus tard qu'on lui reconnait son statut de monument du cinéma. Ce film est aujourd'hui classé première plus grande comédie musicale du cinéma par l'American Film Institute.
Scène de 4’50 : Beaucoup de naturel dans cette scène génialement composée.
La chanson est seulement fredonnée au début.
Sens de l’espace, multiplicité des plans, utilisation des partenaires et des accessoires (lampadaire, policier, flaque, trottoir, parapluie, passants)
Déplacements de caméra par rapport aux déplacements de Gene Kelly
Le décor est défini clairement au début comme une rue sous la pluie (donc a priori triste, trottoir linéaire, pluie verticale, gris) mais c’est comme si le geste, la danse et le chant dissolvaient l’espace.
Le passage tout entier illustre des images propres à notre langue comme « ruisseler de bonheur », « être inondé de joie ». Jusqu’au septième plan, la caméra accompagne la déambulation euphorique de Gene Kelly, en le précédant d’abord légèrement : elle cadre alors frontalement le danseur comme sur une scène, avec derrière lui le décor des vitrines. Le huitième plan marque la rupture de cette vision frontale par l’élargissement soudain de l’espace : un travelling arrière qui s’éloigne obliquement du sol creuse l’espace et rend plus vaste le lieu de la danse en découvrant la rue dans sa largeur et dans sa profondeur. Le déplacement de la caméra et les évolutions du danseur obéissent à un rythme identique. Lorsque le danseur abandonne le trottoir pour un saut dans la rue, la caméra effectue un bond dans l’espace.
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