L'économie analytique

ERC CM 3

L’échantillon deux critères :

• Le budget 50% du cout des études (le temps est long + c’est cher, logiciel, aide, matériels)
• Les statistiques pour calculer la taille de l’échantillon : N = z2*p*q/e2

• La valeur Z c’est la valeur d’erreur statistiques (table des lois), exemple 5 on à 5% de chance d’avoir faux dans nos résultats, en règle générale 95% d’intervalle de confiance (on se l’accorde) 95% de chance que le résultat soit juste
• La valeur de P correspond au pourcentage prévu de consommateur qui vont acheter le produit, P c’est la proportion d’individus qui sont potentiellement intéressé par l’objet de notre étude (c’est un pourcentage) si 10% = 0,1
• La valeur Q c’est l’inverse de P, c’est nombre total d’individus – la valeur de P = Q
• La valeur de E : exemple 20% de conso potentiel et part d’erreur de 3%, le résultat va être en 17% et 23% c’est la marge d’erreur, plus la marge d’erreur est faible plus l’échantillon sera grand.

Pour formuler un questionnaire :

• Phase introductive : présenter le projet d’étude, remercier la personne et lui donner une estimation du temps nécessaire pour qu’il puisse répondre (5min environ, un temps agréable) 2-3 lignes 🡪 être soft dans les questions, pas cash
• Questions qualifiantes : vérifier que la personne est éligible, s’assurez que le répondant correspond à notre terrain d’étude (ex : produit d’épilation pour femmes, question sur le sexe obligatoire), elles peuvent être double (ex : êtes-vous un étudiant ? si oui sur Nancy ?) 🡪 Sert à filtrer

Parler de tranches d’âges pas demander l’âge directement (= 18-24 jeune étudiant, jeune actifs / 25 à 39 ans actif / 40 à 59 ans stabilité, actif, salaires les plus élevés / 60+ retraite)

PCS (reprendre les grandes catégories environ 7 en incluant les étudiants) et ne pas interroger de mineure sans accord parental

• Questions de mise en route : 1 à 2 questions qui n’ont rien à voir avec le thème principal mais qui l’amène habillement (humour par exemple)

Si le sujet concerne des plats par exemple ou de restaurant sur des horaires de déjeuner ou de dîner, voir diapo (biscuit sec exemple)

• Questions spécifiques : cœur de l’étude

Il faut une bonne compréhension des questions, tester nos questions sur des amis ou proches, il faut que la question la plus compliqué soit comprise par la personne la plus éloignés du sujet

Le temps doit être inférieur à 15min (sinon désavantage pour le répondant) 20 min max si en ligne

Préférais les questionnaires en ligne, simplicité dans la collecte d’informations, 100% des répondants sont éligibles, le temps parait moins long, l’image capte l’attention (ludique), le questionnaire se diffuse + vite.

Pour 1 item il faut 5 observations (personne), bien gérer la taille du questionnaire avec le nombre de l’échantillon

Les échelles de mesure : mode de prélèvement des réponses permettant ultérieurement leur encodage

• Les questions dichotomiques (extrêmes, l’un ou l’autre) = blanc/noir, oui/non
• QCU/QCM : une réponse possible (unique) dans les propositions, ou choix multiples dans toutes les propositions
• Les questions de rang : quelle priorité dans les choix ? bleu puis rouge puis vert dans l’ordre de préférence
• Les questions sémantiques différentielle : mettre deux choix possibles chacun inverse de l’autre (cocher le côté pour lequel on penche le plus, plutôt robuste ? ou fragile ?)
• Smileys (intuitif)
• Les questions en Lickert (exemple : pas du tout d’accord / pas d’accord / ni d’accord, ni en désaccord / d’accord / tout à fait d’accord) 🡪 cela doit être symétrique

Éviter les erreurs d’imprécision  

Éviter d’utiliser des termes techniques, termes simples

Éviter les erreurs d’ambiguïté (poser deux questions en une seule avec seulement un champ de réponse, exemple : avez-vous un ordi et un téléphone ? oui/non)

Éviter les questions d’interro-négociation (termes négatifs dans la question à éviter)

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