Composition

Le réchauffement climatique est l’un des phénomènes, pour ne pas dire « le » phénomène, qui inquiète le plus notre civilisation à l’heure actuelle. En effet, si toutefois ce dernier pourrait bien menacer un jour prochain la vie sur terre, aujourd’hui, ses conséquences peuvent être plus directes et souvent catastrophiques. Le réchauffement climatique engendre des risques tels que des inondations à cause de la montée des océans, la fonte du pergélisol et sa menace de gaz à effet de serre en quantité catastrophique ainsi que des virus dangereux pour l’homme et des possibilités d’épidémies voire de pandémies, des cyclones…. Tant de conséquences qui viennent se rajouter aux risques naturels tels que les tremblements de terre dus à la tectonique des plaques et les tsunamis qui peuvent en découler, et bien plus encore… Autant de risques naturels qui ont à ce jour des conséquences sur l’homme et ses territoires. Mais alors comment protéger les populations face à ses risques ? Comment procéder au mieux pour qu’un risque naturel ne soit pas forcément synonyme de dégâts matériels ou encore de pertes humaines ? Et quels sont les états les mieux protégés ? Tant de questions auxquelles nous essayerons au travers d’un développement construit de répondre au mieux grâce aux recherches effectuées et à mes connaissances.

Face aux aléas et la vulnérabilité de certaines régions du globe plus exposées à certains risques naturels que d’autres, ces dernières sont inégalement affectées à des conséquences parfois désastreuses en termes de pertes humaines et de dégâts matériels affectant souvent l’économie parfois pendant des décennies. Les enjeux liés aux risques naturels deviennent un sujet d’ordre mondial aujourd’hui, c’est pourquoi nombres d’organisations comme l’OMS, l’UNDRR et l’UNESCO traitent dans une priorité absolue et mettent en place des objectifs quant conséquences néfastes à minimiser voire à éviter, le tout dans un objectif de développement durable.

L’union des différents états quant aux traitements des informations liées aux différents risques naturels font parties d’un partage collectif des ces connaissances et sont accessibles à tous, et ce, dans plusieurs traductions linguistiques afin de permettre au plus grand nombre l’accessibilité à ces informations. En effet, la communication est primordiale, et donne une dimension majeure à la sensibilisation de ces risques. Pour se faire, nombres de campagnes de sensibilisation dans le monde et chaque année donnent lieu à des affiches publicitaires mettant en avant l’importance d’une bonne connaissance à l’ensemble des risques, ainsi que des marches à suivre et des solutions mises en place pour minimiser les dégâts matériels et humains. Ainsi et grâce à cette sensibilisation, nombre de pays ont pu former par le biais d’exercices ou de formation, la population et notamment les plus jeunes.

Quant à ces derniers, que l’on considère comme les « acteurs de demain », des jeux interactifs sont accessibles afin d’orienter les futures architectes, par exemple, à la nécessité de construction d’infrastructures avec des matériaux appropriés quant aux éventuelles menaces liées aux secousses sismiques. Ce genre de procédé est déjà utilisé dans les régions entourées par des tectoniques de plaques susceptibles de causer des séismes réguliers, comme au  Japon où le tremblement de terre de 2011 a fait peu de victimes car les infrastructures des bâtiments avaient été conçues et ou renforcer pour palier à ces dangers, et où les habitants étaient éduquer quant aux marches à suivre et règles de sécurité à respecter. Des législations sont également, à l’heure actuelle, en vigueur afin de prévenir les tsunamis possibles en conséquences à ces séismes, comme celle de la localisation imposée aux constructions d’hôtels qui visent à les déporter d’au moins 200 mètres des cotes.

En termes de communication et de prévention, l’éducation des plus jeunes est stratégique, la mise en œuvre de cours dédiés aux risques naturels et des marches à suivre en cas de danger imminent, ainsi que des règles de sécurité ont fait leur preuve. Une jeune fille en vacances avec ses parents en Indonésie, a pu avertir la foule, bien que terrorisée, par la venue d’un tsunami, parce que cette dernière avait vu que la mer c’était partiellement retirée, et qu’elle s’était souvenue de son cours de géographie. La prévention quant aux risques et catastrophes encourus est donc une des solutions majeures afin de minimiser les dégâts liés à cette catastrophe. L’éducation de tous est donc nécessaire à la survie de chacun et atténue en partie la vulnérabilité des populations face aux dangers. Bien comprendre le sujet traité fait partie de l’intégrité de la gestion des risques, en effet, une population mal informée entre dans une catégorie de cette gestion, plus les habitants d’une société sauront quoi faire face au danger, plus la gestion de ces derniers nécessitera une gestion extérieure et supplémentaire de secours.  

Les centres de surveillances sismiques et volcaniques ont aussi leur importance, dans la prévention, ainsi que les centres d’alerte aux tsunamis, ils permettent une anticipation de la catastrophe, et ainsi la possibilité de s’abriter et se réfugier selon les préconisations dues aux dangers. Cependant, il n’est pas toujours si facile malgré les moyens mis en œuvre d’obtenir les résultats escomptés. Les tremblements de terre peuvent en effet détruire partiellement les moyens de communication, ainsi l’alerte quant à un tsunami éventuel peut être perçue trop tard en termes d’avertissements, ce décalage d’information à déjà causé de nombreuses victimes qui, de part les moyens de surveillance mis en place, auraient pu être évités. Cependant, c’est un moyen nécessaire malgré ses failles, car il permet la plupart du temps à évacuer les populations en danger.

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