Une conversion biologique de l’énergie solaire : la photosynthèse

CHAPITRE 3 : Une conversion biologique de l’énergie solaire : la photosynthèse

Problématique : Comment l’énergie solaire est-elle utilisée par la biosphère ?

Problème : Comment entre-t-elle dans la biosphère ?

I. Végétaux et absorption du rayonnement solaire

1) La photosynthèse

Activité 1 : La feuille, organe photosynthétique

Voir ci-joint :

Travail 3 : Les échanges d’énergie

Une partie du rayonnement solaire absorbé par les organismes chlorophylliens permet la synthèse de matière organique à partir d’eau, de sels minéraux et de dioxyde de carbone (photosynthèse).

A l’échelle de la feuille, la photosynthèse utilise une très faible fraction de la puissance radiative reçue (1%), le reste est soit réfléchi, soit transmis, soit absorbé(échauffement et évapotranspiration).

2) De la puissance solaire à la photosynthèse planétaire

Activité 2 : Questions 1 et 2 page 117

Voir ci-joint :

A l’échelle de la planète, les organismes chlorophylliens utilisent pour la photosynthèse environ 0,1% de la puissance solaire totale disponible.

Problème : Que devient l’énergie solaire dans les chaînes alimentaires ?

II. De l’énergie solaire à l’énergie chimique des molécules du vivant

Activité 3 : Questions 3 et 4 page 117.

Opinion de Elisabeth Badinter :

Elisabeth Badinter, née Bleustein, le 5 mars 1944 à Boulogne-Billancourt, est une femme de lettres, philosophe, féministe française et spécialiste du siècle des Lumières. Elle est également une femme d'affaires, fille du fondateur de Publicis.

Selon Mme Badintere la différence entre les hommes et les femmes aboutit a déterminés pour les hommes et pour les femmes

Elle démontre que la féminité est extrêmes culturel et trouve que l’injustice majeure et le faites que les femmes assume 80% des taches familial , des taches parentales mais encore ménagère et donc plus elles font d’enfants plus le travail est lourd / accablant pour elles , cela a un impact sur la vies professionnel et les recherches d’emplois

Dès son premier livre en 1980 , intitulé L’Amour en plus , Elisabeth Badinter affirme que l’instint maternel n’existe pas ou du moins qu’on le retrouve pas chez toute les femmes .

Chacun porte en lui un mélange subtil de ce que l'on appelle féminité et virilité

Selon elle les femmes, quoi qu'il arrive, sont d'innocentes victimes , mais pas toujours : les hommes sont décris comme des prédateurs et agresseurs potentiels, y compris parfois à l'égard

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