Ondine Valmore
TD : Ondine Valmore. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tim Defranne • 27 Novembre 2017 • TD • 341 Mots (2 Pages) • 1 660 Vues
Ondine Valmore, de son vrai prénom Hyacinthe, est la fille de la poétesse Marceline Desbornes-Valmore et du comédien Prospère Lanchantin dit Valmore. Elle né le 1 novembre 1821 à Lyon et meurt le 12 février 1853 à l’âge de 31 ans. Dès ses 12ans, elle a des problèmes respiratoires. A 20 ans, elle part soigner sa tuberculose à Londres pour quelques semaines. Elle y reste finalement plusieurs années et apprend l’anglais. Grâce à sa connaissance de l’anglais, elle traduit des poètes tels que Shakespeare et fait des vers. Sa sœur cadette meurt en 1846, à l’âge de 21 ans, ce qui attriste fortement Ondine. En 1848, après son retour en France, Ondine devient inspectrice des pensionnats de demoiselles de la Seine. Cela rend sa mère très fière car le concours pour y accéder est extrêmement difficile. Sa mère développe une obsession qu’elle se marie. Elle accepte et se marie avec Jacques Langlais, avocat et choisit par Marceline, le 16 janvier 1851. De leur union né un enfant. Ondine meurt le 12 février 1853 de la tuberculose et laisse un orphelin élevé par son père et sa grand-mère. Léon Séché, né en 1848 et mort en 1914, spécialiste du romantisme a dit « Ondine avait hérité ce don de sa mère. Son vers était sobre, sérieux, réfléchi, comme sa délicate personne ».
Il est composé d’un douzain de décasyllabes. Les rimes sont suivies et majoritairement suffisantes mais avec également des rimes riches. On remarque une figure de style : la personnification ( La sève dort ).
Dans ce poème, on ressent la morosité, la solitude, le mal du siècle, tout cela transmis par la nature. Mais à la fin, on sent une touche d’espoir que nous donne Ondine avec « Voix du printemps qui remuez les âmes ». Par « voix du printemps », on doit comprendre la vie ou le bonheur qui finit toujours par arriver après une période triste, sombre. Elle nous montre que, malgré qu’elle ait attrapé la tuberculose, elle conserve de l’espoir dans la vie.
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