Littérature en tant qu'art.

INTRO : au début du 20e siècle , la littérature apparaît comme étant un art. Ce terme est définit par un ensemble des œuvres écrites ou orales avec une certaine exploitation de la langue et une valeur esthétique, afin de multiplier les effets sur son destinataire (lecteur ou auditeur).

Le miroir est un terme souvent utilisé comme une métaphore ou une image afin de parler de ce que reflète un objet, un mot, un fait.. Par exemple ,on utilise souvent le miroir pour parler du « reflet de la réalité ».

la cruauté est définie par le fait de faire souffrir une personne volontairement et sans justification. La cruauté s’exerce sut tout être capable de souffrir :

animaux, hommes..

La barbarie procède d'un jugement de valeur, par exemple tel peuple est barbare car il ne répond pas aux critères de la « civilisation ». Cependant, la barbarie est liée au terme de la cruauté , voir de l'inhumanité . Elle désigne un acte de violence extrême et volontaire.

Nous pouvons donc nous demander, est-il est souhaitable que la littérature se fasse le miroir de la cruauté et de la barbarie des hommes ?

Nous verrons dans une première partie qu'en effet la littérature est le reflet de la cruauté des hommes et de leur barbarie à travers des exemples ; puis dans une seconde partie nous verrons que la littérature n'est pas forcément le miroir de la cruauté des hommes.

I- La littérature permet de montrer au leteur une mauvaise ou une belle iage du monde au lecteur selon l'envie de l'auteur. Elle s'inspire beaucoup de la réalité par exemple Guy de Maupassant dans Bel Ami, qui utilise une cadre spatio-temporel réel : Paris au 19e siecle. Cependant on remarque que dans certains romans , le mal est très présent. C'est la cas par exemple dans Candide de Voltaire ou plusieurs sujets philosophiques sont évoqués, notamment l'esclavage lors de la rencontre de « l'esclave nègre » . Dans ce passage , l'esclave raconte comment il s'est fait arracher la jambe dans une fabrique de sucre et le calvaire qu'il subit. C'est ainsi que le personnage de Candide réalise que le mal l'emporte sur le bien dans « le meilleur des mondes ». La barbarie et la cruauté de l'homme est présente dans la seconde partie du roman de Candide avec les guerres inutiles, violentes ; et surtout avec le commerce triangulaire des esclaves, l'exploitation sexuelle des femmes , notamment le viol de Cunégonde : « là des filles, éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs » (chapitre3) . Montaigne (1533-1592) évoque également la barbarie de l'Homme dans son essai « Des cannibale » : « chacun rapporte pour son trophée la tête de son ennemi qu'il a tué  et l'attache à l'entrée de son logis ». A travers cette phrase, on comprend que l'Homme est d'une barbarie suprême et qu'il ne s'en cache pas et c'est ce qui en fait sa cruauté.

Le poème de Victor Hugo ,  « Le crapaud » met en scène les trois figures innocentes de la société : les enfants, une jeune femme et un prêtre ; cependant ces trois personnages enlève la vie à un crapaud : « lui mit son

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