Les points communs entre les différents poèmes

Les points communs entre les différents poèmes

Le thème dominant entre ces trois ouvrages est la rencontre amoureuse. Nous avons à travers ces trois documents, différents champs lexicaux : CL des sentiments, CL de la rencontre, CL de la lumière. Concernant la structure des poèmes, nous pouvons y retrouver des rimes, embrassées (Doc A et C), suivies (Fin du Doc A et C) et croisées (Doc B). Nous trouvons également, la répétition de différents mots dans les trois poèmes (passé, passa, passant, fille, regard, main …). Un jeu d’ombre et de lumière se met en place dans les 3 ouvrages, le narrateur peut être perçu comme l’ombre et l’être aimé comme la lumière.

Comment la rencontre amoureuse est-elle vécue ?

Ce corpus est composé de 3 poèmes. Le premier écrit par Ronsard en 1857, il s’intitule « L’autre jour que j’étais sur le haut d’un degré », il est extrait de Sonnet pour Hélène. Nous avons un deuxième poème nommé « Une allée du Luxembourg » extrait de Odelettes écrit par Nerval en 1853. Le troisième poème, se nomme « A une passante » extrait de Les fleurs du mal, écrit par Baudelaire en 1857.

Nous allons voir comment les poètes décrivent la rencontre éphémère.

Premièrement les auteurs choisissent des endroits similaires pour cette rencontre comme le détour d’une rue, par exemple dans « A une passante » de Baudelaire le personnage se trouve dans une « rue assourdissante » ou encore dans celui de Nerval le personnage se trouve dans une allée. Ils choisissent donc des endroits banals pour ces rencontres, qui sont donc propices à une rencontre éphémère, car on croise des personnes sans même s’en apercevoir.

Les sens sont aussi mis à profit pour cette description, nous avons « tu m’éblouis les yeux » dans Sonnet pour Hélène, mais encore « d’un seul regard l’éclaircirait »

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