Le double paradoxe de la mort
Thèse : Le double paradoxe de la mort. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rymalou • 3 Janvier 2023 • Thèse • 3 994 Mots (16 Pages) • 371 Vues
Philosophie
Thème 1 : La mort
Code moodle :, g6psh4
exam pour le 6janvier : 2sujets de dissert au choic : intro + trame argumentative
LA MORT :
La mort : prorbleme philosphique , probleme « ethique »
à quoi revoit la notion d’ethique :
on peut laisser mourir la personne mais pas la provoquer : dans le domaine médical par exemple : administrer la mort
sédation profonde et continue = l’équipe medical peut décider de mettre fin a un traitement et laisser mourir la personne opération très encadré mais pbrlbm juridique et éthique
problème : personne qui souffre qu souhaite mourir mais la loi pose prblm dans cette demande
problème avec les représentations et les conduites a l’égard de la mort marqué par une forme de nécessité car nous n’y échapperons pas donc comment nous y préparer en sachant que la mort nous renvoi pour certain a une libération etc et pour d’autre a un terme a l’existence et a une fin
Comment définir des comportements et des conduites face à l’événement de la mort ?
Cette mort nous la craignons plus que nous la souhaitons donc comment se conduire face a ça, nous savons que nous sommes mortels.
On est dans une approche existentiel face à cet événement
pour une personne qui a vécu l’épreuve de la maladie selon l’histoire, la religion et l’environnement de chacun il peut y avoir une différence dans l’approche de la mort
d’un point de vue philosophie : comment nous pouvons, devons conduire notre vie dans la perspective de se voit fini, mortel. On peut dire que l’être humain est un passage entre le fini et l’infini
Cette finitude décide de la manière dont nous comportons jusqu’à arriver a ce terme
2 paradoxe présent :
1/ paradoxe 1
La mort comme fait culturel :
La mort a une dimension d’un fait culturel, si on a besoin de ces œuvres c’est que la culture a besoin d’un ensemble de représentation pratique pour la société humaine
il y a une relativité culturel dans la représentation de la mort , on ne représente pas la mort selon les époques et les religions, selon les société ( démocratie, dictature etc)
c’est un fait culturel car ces pratiques peut varier d’une culture a l’autre : culte des morts dans certaines sociétés ( la dia de los muertos )
le sens qu’on va donner a la mort, et aux statuts qu’on va donner aux morts : différent selon les cultures
- hommage national aux morts par la patrie
tt ces manifestations constitue une part importante dans cette vie culturelle, la culture est proprement humaine car on introduit la notion de mort dans cette culture
l’ensemble de ces pratiques montre que l’homme appartenant a cette culture et prend conscience de sa mort et finitude naturelle mais il a également la volonté de ne pas s’y soumettre passivement
Rendre hommage aux mort est aussi l’idée que nous avons besoin et le devoir dans certaines pratiques de dépasser la mort , réagir a cette donné naturel par une réaction d’insoumission face a cet événement
-dépasser la mort en dépassant la crainte qu’elle nous procure
-dimension symbolique dans l’héritage, laisser une trace de notre passage sur cette terre
- dépasser la mort en laissant un héritage dans le développement humain par exemple, -dépassement générique a travers la reproduction
-dépassement social et culturel, héritage individuel ou culturel aux générations future
F. Dastur » il faut savoir sans doute « d’abord définir l’homme à partir de ces conduites externes de deuil plutôt qu’a partir d’un se-savoir mortel qu demeure tout intérieur » ( la mort, Essai sur la finitude, p.8)
Explication : le postulat de départ : l’homme se définit par rapport à la mort , le fait d’etre humain comporte le fait d’être mortelle. Mais si l’homme se définit par la mort il se définit d’abord par ses conduites de deuil, examiner les conduites a l’égard de la mort des autres.
IL faut partir de la mort des autres et ensuite de manière secondaire partir de ce que l’on en sait et partir de soi, si pour définir l’homme il faut partir de la mort des autres et pas de sa propre mort ce que l’on peut savoir de la mort c’est tellement interrieur que ca nous echape, nous avons du mal a l’appréhender
le rapport humain a la mort serait trans-naturelle c’est d’abord un fait culturel et qui implique des comportements qui sont a ma fois individuelle et des comportement collectifs a travers les moments social de deuil a travers les cultures
Cela signifie que la vie de l’homme social et culturel et en grande partie une vie avec les morts et pas simplement les morts immédiats mais une vie avec ces générations de morts, avec lesquels on peut élaborer dans le présent un rapport aux autres.
La vie de l’homme social est en grande partie une vie avec les morts, avec ces ancêtres personnels ou communs, voire fondateurs
à retenir : la mort est un fait culturel majeur, principe du rapport aux autres dans son inscription culturel et social.
Dites moi comment vous occuper des morts ou de la mort je vous dirai quelle société vous formez
Peut-on définir clairement ce qu’est la mort ?
Y’a t-il un concept commun de mort ?
Ou de relativité culturelle ?
On peut passer de la culture a la science et du savoir médicale, ce savoir médicale a affaire malgres elle a la mort brutalement
Est-ce si facile pour la médecine de décider qui est mort ou pas ou qui est déjà mort
De la culture à la science
la mort à évoluer historiquement, il y a une difficulté à defenir ce qu’est la mort, cette évolution des critères déterminant de la mort ( anne carol article une histoire medical) : jusqu’au 18e s ce n’était pas au médecin de définir la mort mais le curait, on savait qu’un mort l’était pas des signes approximatif ( immobile, ne réagit plus, manifestement ne respire plus, pale, froid)
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