La Peste, Arnold Böcklin (1898):
Résumé : La Peste, Arnold Böcklin (1898):. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Unkonwwn • 26 Mars 2020 • Résumé • 582 Mots (3 Pages) • 751 Vues
La Peste, Arnold Böcklin (1898):
1. •La faucheuse: Machine agricole qui sert à faucher, c’est-à-dire à couper (les herbes, plants, etc.) , allégorie de la mort dans la culture européenne.
•La peste: Maladie épidémique contagieuse / personne ou chose nuisible, pernicieuse.
•La peste noir: Terrible épidémie qui décima un tiers de la population européenne entre 1346 et 1351.
•le choléra: Grave maladie intestinale, très contagieuse.
•la dysenterie: Maladie infectieuse provoquant des diarrhées graves.
•la lèpre: Maladie contagieuse qui s'attaque à la peau / Mal qui se rèpend.
•la fièvre jaune: Maladie gastro-intestinale qui est originaire des régions tropicales
•la grippe espanole: Maladie virale et contagieuse qui sévit entre 1918 et 1920, la plus importante pandémie grippale connue dans l'histoire de l'humanité.
•Le SIDA: Maladie infectieuse contagieuse, transmissible par voie sexuelle ou sanguine, caractérisée par une chute brutale des défenses immunitaires de l'organisme.
Tous ces mots sont reliées, ils sont des maladies grave europieenne.
2. La peste est rendue principalement en utilisant des nuances de vert pâle, une couleur souvent associée à la décomposition. La scène se déroule dans la ruelle d’une ville qui n’est pas sans rappeler, par ses couleur,-brunes jaunâtres- et sa construction-étroitesse des rue, sols pavés, niche dans les murs - , l’architecture médiévale. Le choix de ce décor, ainsi que les vêtements des personnes, nous renvois à une période durant laquelle la peste, considérée comme une punition divine, et une des épidémies les plus mortelles et les plus redoutés.
Dans cette scène, la peste noire est représentée par la Mort qui tient une faux et ravage tout sur son passage : la Grande Faucheuse, peintes au centre du premier plan, elle et sa monture occupent plus de la moitié de la toile. En plus au premier plan à gauche on trouve deux femmes inférieures au Faucheuse. On aperçoit au second plan les habitants qui succombent ou cherchent, en vain, à échapper au fléau qui ravage leur ville. À l'arrière-plan, un immense nuage de fumée vers lequel se dirige la Mort indique que l’humanité est entraînée vers l’apocalypse.
L’art symboliste aime les atmosphères de fin du monde, l’ambiance est étouffante et pleine de tristesse et de malheur.
3. Cette ville est mise à feu et à sang par le personnage principale de l’œuvre, la Mort, représentée ici sous sa forme allégorique occidentale la plus célèbre: « la grande Faucheuse ». Cette dernière occupe le premier plan en montrant sa puissance et la faiblesse des mortals. La Mort est aisément reconnaissable à son apparence squelettique, sa tunique noire et sa faux destinée à faucher les âmes humaines. Ses orbites vides, dirigés vers le ciel et non vers les victimes traduisent l’inéluctabilité de la mort qui, aveugle, accompiti sa funeste moisson humains sans distinction; l’homme ou femme, puissant ou misérable… En revanche, la peste porte
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