Achats répétés sans pouvoir se réfréner, suppérieur à la surconsommation addiction
Cours : Achats répétés sans pouvoir se réfréner, suppérieur à la surconsommation addiction. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar oceane12 • 22 Septembre 2015 • Cours • 382 Mots (2 Pages) • 991 Vues
Addiction : achats répétés sans pouvoir se réfréner, suppérieur à la surconsommation addiction
Court moment de plaisir, qui n’est qu’une envie d’achat irrépressible se terminant dans un moment d’extase et dans un deuxième temps vient la honte qui ne dure pas Différent des produits de luxes qui assure un plaisir à chaque usage. INVESTISSEMENT TRANSMISSION PATRIMOINE
Pas besoin de renouveller l’objet Emerveillement face à l’objet neuf… ils vont finir par s’en lacer Durée limitée
immédiat
Acheteur compulsif représentant 1 à 2% de la population, essentiellement des femmes, les hommes n’achètent pas les mêmes objets
Capitalisme a pris le pouvoir sur le désir Meubles neufs Besoin/ désir innutile
Les magasins offrent aux consommateurs des objets sans limites Objet technologique attractif (tablette numérique)
Plus l’objet prend du temps a la fabrication plus il va durer dans le temps et plus il va coûter cher
Comment devient-on accro ?
La dépendance est le 3e épisode d’un feuilleton qui commence toujours par la rencontre d’un produit, d’un comportement, d’une personne et se poursuit par l’abus.
Certaines personnes restent au 1er ou au 2e stade, d’autres basculent. Beaucoup boivent ou surfent avec modération, même si de temps à autre, ils sont dans l’excès. D’autres s’installent d’abus en abus dans la dépendance.
Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte : des facteurs psychologiques, des dispositions génétiques, des paramètres sociologiques et enfin la nature du produit.
Nous sommes inégaux devant les addictions : 15% de la population est plus vulnérable que les 85% restants. Les femmes sont plus accros à la nourriture que les hommes. C’est une question de métabolisme.
Ensuite, les produits sont plus ou moins puissants. On sait par exemple que les deux substances les plus accrochantes sont le tabac et l’héroïne. 60% des usagers initiaux deviennent dépendants.
Pourtant, il existe des dépendances sans substance ?
Bien sûr, c’est le cas du jeu, du sport, d’Internet, de la voyance, du botox, du travail... Les personnes sont dépendantes des sensations que le comportement génère. En réalité, dans l’organisme les choses changent. Tout le monde sait qu’en faisant du sport, le cerveau sécrète de la dopamine. Les gens accros au sport se dopent tout seuls.
Dans le cas des dépendants affectifs, recevoir un texto de la personne dont on dépend, c’est comme un mini shoot. La dépendance est aussi une maladie du lien, du rapport à l’autre. C’est le cas de l’accrophonie ou de la voyance
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